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Le concombre de mer, une espèce menacée par une pêche excessive. envoyé par ECODURABLE le 18/04/2009 @ 17:35

Le concombre de mer, (qui est animal, un échinoderme) est un aliment de base, en Asie. Mais la demande est de plus en plus élevée, et les stocks sont surexploités. Les Nations Unies s’en inquiètent et demandent des plans de pêche contraignants.

Oui, pour nous, Occidentaux, le concombre de mer, c’est une sorte de gros boudin gélatineux de 25 cm qui rampent au fond de la mer. Pas très sympathique, dit comme ça. Mais cette holothurie, c’est son nom, ou bèche de mer, fait le régal des Asiatiques, qui la mangent crue, en soupe ou farcie. Les Chinois en importent beaucoup. Mais on s’y met aussi en Europe : à Barcelone, on la trouve depuis peu au menu de grandes tables. On les appelle "espardenyes" en Catalogne.

Toute cette demande, évidemment, crée ce que la FAO, l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, qualifie d’intense pression de pêche dans le monde entier. Les pêcheries d’Asie ou de l’Océan indien risquent d’avoir une mauvaise surprise, car les populations de concombres de mer sont en péril.

S’ils sont en péril, ils ne sont pas protégés ?

Si, comme d’ailleurs une centaine d’espèces marines commerciales, commerciales, c’est-à-dire celles qu’on exploite. Mais dire que c’est une espèce protégée, ça ne suffit pas. Il manque des mesures de protection. Et protéger l’espèce, c’est aussi protéger, à long terme, ceux qui en vivent. On en pêche tout de même entre 20.000 et 40.000 tonnes par an dans la zone Asie - Pacifique, et on en pêche aussi au Canada, aux Seychelles et aux Galapagos.

Alors protéger le concombre de mer, ce pourrait être, comme pour le thon rouge : des quotas de prise annuels, des tailles minimales de capture, la fermeture de la pêche pendant la saison de reproduction. C’est le cas, vous le savez, pour le thon, avec tous les problèmes de contrôle que cela suppose, mais au moins pour le thon, quand les quotas sont atteints, on arrête tout.

L’info en plus : l’an dernier, la pêche au thon avait fermé le 16 juin, avec deux semaines d’avance sur le calendrier, pour cause de quotas atteints.
Source E1

Nouveau point sur le tri des déchets à la maison. envoyé par ECODURABLE le 18/04/2009 @ 17:32

Eco-emballage lance une campagne sur le tri des déchets, pour tenter de convaincre les derniers récalcitrants : 9 Français sur 10 déclarent trier. Presque toutes les communes ont une collecte sélective. Encore faut-il bien trier, car il y a encore 20% d’erreurs de tri.

Oui, ça fait augmenter les coûts, et baisser la qualité du tri. Seulement, reconnaissons-le : c’est difficile de s’y retrouver, surtout avec les plastiques. Alors je vous propose une petite séance de révision. D’abord, ce rappel : le petit logo d’éco-emballage ne signifie pas "bon à recycler". Cela signifie simplement que le fabricant verse de l’argent à la filière recyclage. Le logo est donc ambigu, on l’oublie.

Pour les plastiques, ce qu’on recycle : tous les flacons en plastique avec des bouchons. Cela inclut : les bouteilles d’huile, de shampooing, de lessive, de produits d’entretien, de vinaigrette, les bouteilles d’eau. On vide bien, et on met le bouchon avec.
Source E1

Les nouveaux gaz chauffants envoyé par ECODURABLE le 18/04/2009 @ 17:29


Voilà que les industriels fabriquent de nouveaux gaz qui réchauffent l'atmosphère. De quoi s'agit-il ?

Le CO2 n'est pas le seul gaz à effet de serre. Il en existe déjà 6, contre lesquels nous devons lutter et voilà que 7 autres catégories de gaz sont signalées comme des dangers par les experts du climat. Oui, 7 nouvelles catégories de gaz, qu'on aurait tout intérêt à inclure dans les négociations mondiales sur la lutte contre le réchauffement climatique. Pour l'instant, dans le protocole de Kyoto, on a principalement ce CO2, ce dioxyde de carbone, dont on parle tout le temps, parce que c'est le principal gaz à effet de serre, et parce que les particuliers en émettent, avec les transports et le chauffage, et qu'ils peuvent donc aussi agir. Et puis, toujours dans le protocole de Kyoto, il y a aussi le méthane, le protoxyde d'azote, et trois gaz contenant du fluor.

Quant à ces nouveaux gaz chauffants, ce sont des gaz inventés et fabriqués par les industriels depuis une dizaine d'années. Exemple : de nouveaux HFC, hexafluorures de carbone... De nouveaux PFC, perfluorures de carbone... Des polyéthers perfluorés, et du chlorure de méthyle. Et le problème, c'est que certains de ces gaz sont beaucoup beaucoup plus néfastes pour le climat que le CO2. Exemple : le trifluorure d'azote... On s'en sert dans les écrans plats, et pour fabriquer les panneaux photo-voltaïques. On en fabriquera sans doute 8.000 tonnes l'an prochain. C'est peu, sauf que ça pollue comme 130 millions de tonnes de CO2.

Et alors, pour lutter contre des gaz, comment peut-on s'y prendre ?

Il va falloir une coopération entre les Etats, les scientifiques, et les industriels qui les fabriquent. Parce s'ils sont employés à grande échelle, sans contrôle, ces gaz pourraient devenir un énorme problème. Il faudrait soit cesser de les fabriquer, soit prévoir de les récupérer.

L'info en plus : les négociations sur le nouvel accord mondial sur le climat ont commencé au début du mois.
Source E1

Comment faire des logements sociaux beaux, agréables à vivre et durables à la fois ? envoyé par ECODURABLE le 18/04/2009 @ 17:25


Les premiers locataires sont en train de s'installer, depuis quelques semaines, dans un ensemble de HLM tout neufs, au nord de Paris, dans le 18ème arrondissement. C'est le premier projet de logements sociaux durables à sortir de terre dans la capitale.

Il s'agit d'un ensemble de 93 logements, impasse du Gué, non loin de la porte de la Chapelle. Une opération pilote, puisque ce sont les HLM HQE de Paris, Haute Qualité Environnementale, conçus par l'architecte David Elalouf. Le projet est né il y a 3 ans, avec la volonté de tirer le meilleur des façades. De leur exposition : oui aux grandes baies vitrées au sud et à l'ouest, ça permet vraiment de capter de leur chaleur en hiver. Grand soin dans le choix des revêtements des façades, avec des jeux de réflecteurs solaires au nord et à l'est, pour renvoyer la lumière à l'intérieur. Plein sud, d'immenses balcons, végétalisés, avec récupération de l'eau de pluie. Et des loggias à l'ouest, pour l'apéro dans le dernier soleil. Beaucoup de végétation, le long des murs, sur les terrasses. Des panneaux solaires, pour fournir la moitié de l'eau chaude sanitaire. Et enfin une aération à double flux. On extrait l'air chaud mais vicié des appartements, mais on en récupère aussitôt les calories. C'est le principe de la pompe à chaleur. Donc on y remet de l'air frais, mais pas froid, car il est déjà tiédi par les calories récupérées et c'est autant d'économies de chauffage.

Pourtant, David Elalouf dit qu'il ne ferait plus la même chose aujourd'hui ? Pourquoi ?

Oui, il parle beaucoup du temps. Le temps qu'il fait pour le confort des logements. Le temps qui passe, la durabilité de l'ensemble. Mais il constate aussi que tout a évolué si vite, en 3 ans, les matériaux, les techniques, qu'il aurait aujourd'hui des produits encore plus performants et innovants à sa disposition. Il espère d'ailleurs que l'arrivée des Etats-Unis dans le secteur du développement durable, qui fut longue à venir, va nous permettre de changer vraiment de dimension.

L'info en plus : ce projet durable a coûté 8 à 10% de plus.
Source E1

La lamproie marine est un poisson très apprécié en France. Mais outre-atlantique, ce poisson, introduit accidentellement dans les Grands Lacs d'Amérique du Nord, a plutôt tendance à faire de gros dégâts. envoyé par ECODURABLE le 18/04/2009 @ 17:22


La lamproie marine est un animal laid, qui fait peur même. C'est un long tube avec une paire d'yeux sur les côtés du cylindre et une série de dards en lieu et place de bouche. En France, ce vertébré marin primitif est pêché dans les rivières de la région bordelaise et se retrouve dans nos assiettes (après quand même douze heures de préparation). Mais outre-Atlantique, cette lamproie casse les pieds des autorités américaines et canadiennes des deux côtés des Grands Lacs parce que, depuis son arrivée accidentelle il y a 200 cent ans, cette espèce pullule et perturbe l'écosystème à un point tel que désormais, toutes les idées sont bonnes pour l'empêcher de se reproduire.
Source E1

C’est le printemps des AMAP envoyé par ECODURABLE le 09/04/2009 @ 19:25

LES AMAP, ou Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne

Victimes de leur succès, Les AMAP se multiplient et les consommateurs intéressés ont parfois du mal à trouver des producteurs : fonctionnant de manière autonome, les nombreuses AMAP de France commencent à se fédérer et le Printemps des AMAP est la première manifestation du genre à l’échelle française.

Le premier “Printemps” des Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap), dont l’objectif est de promouvoir l’”agriculture paysanne locale” et une “consommation responsable”, a donc lieu du 21 mars au 21 juin dans toute la France, ont annoncé ses responsables vendredi. Désormais coordonnées par le Miramap (mouvement inter-régional des Amap), ces associations, au nombre de 1.200, visent à “développer l’agriculture paysanne de proximité” dans une logique “socialement équitable et écologiquement saine”, selon les termes de Marc Alphandéry (Alliance Provence).

Historique

la première AMAP a été créée à Aubagne en 2001; L’AMAP consiste en un “partenariat” entre un “groupe de consomm’acteurs” et un producteur : cela “ne se réduit pas à un panier de légumes” vendu au consommateur, et l’un des “enjeux” est de “maintenir les terres agricoles et les petites et moyennes exploitations agricoles” en France.

La Ville de Paris, partenaire du “Printemps” des Amap, soutient ce mouvement qui “montre la voie”, selon Denis Baupin, adjoint Verts au maire Bertrand Delanoë (PS). Ces associations “font partie des mouvements précurseurs” sur “une question essentielle pour l’avenir des villes: comment on se nourrit?”, a-t-il ajouté, soulignant l’importance de la question des terres agricoles en région parisienne.

Développer les Amap, c’est “choisir de se procurer des produits majoritairement biologiques”, “favoriser les circuits courts” et “redonner une part plus importante aux fruits et légumes” dans l’alimentation, affirmait Denis Baupin, ajoutant que la Ville Paris souhaitait que 20% des cantines parisiennes soient fournies en produits “bio” en 2010.

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