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Question des fameux biberons au bisphénol. Toxique ou non toxique, le débat continue. envoyé par ECODURABLE le 27/04/2009 @ 20:00

La ministre de la Santé avait fait grincer des dents, il y a quelques semaines, en expliquant que la présence de bisphénol A dans les plastiques de certains biberons est sans danger. Mais les associations ne baissent pas les bras, et entendent dévoiler aujourd'hui toute la vérité sur le bisphénol.

Oui, c'est le réseau environnement santé, le RES, qui va dévoiler aujourd'hui un dossier très complet sur le bisphénol A. Toutes les données, tous les chiffres sont dedans. Ce produit, on le sait, est un perturbateur endocrinien. Il agit sur les hormones, il peut provoquer des troubles très variés, surtout pour les bébés, dans le ventre de leur mère, et pendant leurs premiers mois de vie.

Non dangereux, dit donc la ministre de la Santé. Alors que la mairie de Paris vient, elle, de décider de ne plus utiliser de biberon au bisphénol dans les crèches. En fait, le ministère de la Santé se base sur un récent avis de l'AFSSA ?

Oui, rapport très critiqué par le RES. Parce que la norme admissible retenue par les autorités françaises, qui est la norme européenne, d'ailleurs. Cette norme est trop élevée, dit le RES. Pourquoi ? Parce qu'on s'est basé sur des études menées sur des animaux, mais on a écarté les études qui relevaient des problèmes, même avec de très faibles doses. Et quand on constate des problèmes avec les animaux, pour appliquer les précautions nécessaires à l'homme, normalement on prend des normes 10 fois plus strictes pour l'homme, et même 100 fois plus strictes pour les enfants. Ce n'est pas le cas pour le bisphénol. Bref, il faudrait des normes au moins 5.000 fois plus sévères.

Vraiment, le Réseau Environnement Santé ne mâche pas ses mots envers l'AFSSA, qu'il accuse, en brandissant des preuves, de ne pas respecter les bonnes pratiques de l'évaluation des risques.

L'info en plus : la directrice de l'AFSSA recevra le Réseau Environnement Santé dans 10 jours.
source E1

Certains frigos ou autre lave-linges vont tout bonnement disparaitre des rayons, dans quelques mois. Les appareils sont de plus en plus sobres, et il va donc falloir changer aussi les étiquettes. envoyé par ECODURABLE le 25/04/2009 @ 08:12

Oui, pour les frigos, par exemple. Pour le froid, les constructeurs ont fait de tels progrès en quelques années, que le marché a changé de visage.
Un bon frigo d'aujourd'hui consomme trois fois moins qu'un frigo d'il y a 10 ans ? en moyenne 25 euros économisés chaque année. D'ailleurs, aujourd'hui, il ne se vend plus que 5% de frigos classe B, d'étiquette énergie B. Et bien ces frigos là vont disparaître totalement. Dans un an il n'y en aura plus du tout dans les rayons. Et vous avez compris, il n'y aura plus que des frigos A. Et du coup, pour continuer à les classer, pour bien informer les consommateurs, on va créer de nouvelles étiquettes énergie. Voilà ce que vous trouverez : frigo A, A - 40%, A – 60% et A - 80%. Les frigos sobres de demain permettent d'économiser encore 80% d'électricité sur l'actuelle classe A. On va faire pareil pour les lave-linge. On trouvera des A, A - 20%, - 30 ou - 40%. Vous voyez que les écarts de consommation entre les modèles de lave-linge sont moins importants que pour les frigos.

Et pour les sèche-linge, qui sont connus pour être très gourmands?
Pour les sèche-linge, les progrès des constructeurs sont moins rapides. Aujourd'hui on trouve des sèche-linge B, C et D. Quelques modèles classe A avec une technologie classique, à condensation, mais ils sont très chers. En gros entre 700 et 1700 euros. Mais les constructeurs annoncent une nouvelle technologie, avec le principe de la pompe à chaleur, des sèche-linge très sobres, classe A, donc, mais là aussi, encore très chers.

L'info en plus : les 3/4 des français tiennent compte des étiquettes énergie quand ils s'équipent.
source E1

Une première mondiale en Allemagne : une centrale électrique hybride. envoyé par ECODURABLE le 23/04/2009 @ 20:42


La chancelière Angela Merkel a posé cette semaine la première pierre de la centrale de Prenzlau, au nord de Berlin. 3 éoliennes sont le coeur de cette petite centrale tout à fait inédite...
En fait, vous allez voir, c'est une idée toute simple, de bon sens, qui permet de rendre l'éolien plus attractif. Vous savez qu'on ne peut pas stocker l'électricité, ou alors très difficilement. Or, s'il y a du vent la nuit, quand personne n'a besoin du courant, c'est de l'énergie qui se perd. Voilà donc l'idée de cette centrale de Prenzlau. La nuit, quand les éoliennes tournent, elles vont servir à fabriquer de l'hydrogène. C'est simple, il suffit d'avoir de l'eau, et de l'électricité.
On stocke l'hydrogène, qu'on garde pour les périodes sans vent. Et quand arrive le calme plat, on prend l'hydrogène, on ajoute un biogaz fabriqué par des producteurs de maïs de la région, on brûle le tout dans une petite centrale classique, un moteur, un alternateur, et voilà de l'électricité fabriquée aussi par calme plat. Le vent de la nuit, valorisé pour produire du courant quand il n'y a plus un souffle d'air. On comprend tout de suite qu'on va pouvoir améliorer le rendement de l'éolien. C'est simple, pas très cher : là, c'est une centrale à 21 millions d'euros... et si ça marche bien, c'est une idée qu'on pourrait appliquer à toutes les éoliennes.

Les allemands sont déjà les champions d'Europe des éoliennes?
Oui, même si l'éolien y a connu l'an dernier une petite baisse de régime, les allemands restent incontestablement les leaders de l'Union Européenne.. et le chiffre d'affaire du secteur provient d'ailleurs à 82% de leurs exportations. Rendre ainsi les fermes éoliennes plus rentable, cela pourrait booster encore davantage leur industrie, et permettrait d'atteindre plus facilement les 20% d'énergie renouvelable que l'Europe impose pour 2020.
Source E1

Changement climatique: Sommet des peuples autochtones envoyé par ECODURABLE le 22/04/2009 @ 21:28


Masai du Kenya, Saami de Finlande, Inuits du Canada, Dayac de Bornéo : tous ces peuples particulièrement affectés par le réchauffement se sont réunis pour un premier sommet avec l’objectif de faire entendre leurs voix avant la conférence de l’Onu sur le climat en décembre à Copenhague.
Tous ces peuples autochtones se préparent à parler d’une voix : une déclaration officielle sera proclamée ce vendredi 24 avril en conclusion du premier sommet international des peuples autochtones de la planète, qui rassemble 400 représentants des peuples indigènes et des observateurs de 80 pays, depuis dimanche, à Anchorage en Alaska.

“Les peuples indigènes sont le moins responsables des problèmes planétaires résultants du changement climatique mais seront presque certainement ceux qui en subiront le plus les conséquences”, a expliqué Patricia Cochran, présidente de “la Conférence Inuit circumpolaire” (CIC), groupement de peuples Inuits et Inuvialuits du Canada, les Kalaallits du Groenland, les Inupiaqs et Yupiks de l’Alaska et les Yupiks de Russie, à l’inititiative de ce sommet.

“Nous travaillons depuis longtemps au sein du forum permanent de l’ONU sur les questions indigènes et dans le cours des discussions il est devenu très clair que les communautés autochtones du monde ont souhaité ce sommet pour discuter toutes ensemble du changement climatique et de tous les problèmes auxquels elles sont confrontées“, a indiqué Mme Cochran dans un entretien avec l’AFP.

“Nous essayons de régler ces problèmes et de voir comment nous pourrions nous-même élaborer des plans pour répondre à l’impact du changement climatique dans chacune de nos communautés“, a-t-elle poursuivi.

“Le début du sommet sera consacré à la présentation de rapports régionaux de chaque communauté indigène dans le monde de manière à ce que nous puissions savoir ce qui se passe, que ce soit les problèmes de la déforestation ou de la fonte des glaces arctiques avec leurs conséquences respectives“, a ajouté la présidente du sommet.

Les délégations auront également des discussions avec des représentants gouvernementaux, des milieux d’affaires et universitaires ainsi qu’avec des ONG et tout ce processus aboutira à une déclaration officielle contenant des recommandations qui sera transmise à l’ONU et défendue à la conférence de Copenhague en décembre.

Pour Sam Johnston, de l’Université des Nations unies à Tokyo, qui co-paraine le sommet d’Anchorage, “ce sommet intervient à un moment critique des négociations car il est essentiel d’alerter le monde sur les problèmes auxquels font face les peuples indigènes avec le changement climatique et de maintenir un haut niveau d’alerte“.

L’expérience ancestrale des peuples indigènes de contacts étroits avec la nature, d’expériences et de savoir traditionnel qu’ils ont accumulés font que le monde devrait leur préter une plus grande attention pour répondre aux problèmes du réchauffement climatique, a-t-il expliqué à l’AFP dans une interview.

Au moins 5.000 groupes distincts de peuples autochtones ont été identifiés dans plus de 70 pays et forment ensemble une population de 300 à 350 millions de personnes, représentant environ 6% de l’humanité.

Le sommet d’Anchorage, parrainé par les Nations Unies, est sponsorisé par des ONG occidentales : la Fondation Ford, Conservation International, The Nature Conservacy et the World Wildlife Fund. Quelques états sont aussi de la partie : les gouvernements suédois et danois, le service américain des parcs et l’US Arctic Commission. Anoter la participation de Evo Morales, président de Bolivie, et Miguel Brockman, président de l’Assemblée générale des Nations unies.
AFP

Le préfet a décidé de fermer la décharge de la Glacière, à Villeneuve Loubet, près de Cagnes sur Mer dans les Alpes-Maritimes. Une décharge qui n'était pas exploitée dans les règles, et sa fermeture est un vrai soulagement pour les habitants. Mais en même temps, rien n'est résolu dans le département. envoyé par ECODURABLE le 21/04/2009 @ 19:31

Le préfet a décidé de fermer la décharge de la Glacière, à Villeneuve Loubet, près de Cagnes sur Mer... Une décharge qui n'était pas exploitée dans les règles, et sa fermeture est un vrai soulagement pour les habitants. Mais en même temps, rien n'est résolu dans le département.

Oui, c'est vrai que les habitants de Villeneuve-Loubet n'en pouvaient plus. Imaginez cette décharge exploitée depuis neuf ans, le seul centre d'enfouissement des déchets ultimes du département. Vingt-deux communes y envoient leurs poubelles. Et c'est une montagne, mais véritablement une montagne d'ordures, qui domine la ville. Normalement, la décharge devait accueillir 300.000 tonnes de déchets par an et quarante à cinquante camions par jour. Et bien une expertise récente montre qu'il y a sur place 320.000 tonnes de déchêts en trop! Une année d'exploitation de déchêts illégaux! La hauteur de ce monceau d'ordure, c'est quinze mètres de plus que l'autorisation initiale. Ca sent mauvais à des kilomètres à la ronde. Et le sol, évidemment, a fini par être pollué. Tout l'été dernier, il y a eu de l'arsenic dans le sol, à 100 mètres d'un captage d'eau. Et on vient seulement de l'apprendre. Alors à l'annonce de cette fermeture de la Glacière, c'était champagne, à Villeneuve-Loubet. Une décision historique, pour les habitants, et le maire, qui n'osaient plus y croire.

Et maintenant, les déchets, on en fait quoi?
A court terme, les communes concernées espèrent se tourner vers les incinérateurs d'Antibes, Nice, et Monaco. Mais aussi vers le Var et les Bouches du Rhône. Mais encore faut-il que les préfets de ces deux départements donnent leur accord. De toute façon, ça coutera cher en transport, au moins trois millions d'euros par an. Et ce n'est évidemment pas une solution à long terme. Il faut enfin trouver un site pour une décharge ou un centre d'enfouissement dans les Alpes Maritimes. Mais ca fait dix ans, et les responsables cherchent toujours le terrain idéal.

L'info en plus : et si ca traîne encore, le préfet pourrait finir par imposer un site.
Source E1

C'est jeudi que se tient le Grenelle des ondes, promis par le gouvernement. Tous les acteurs concernés, y compris les associations qui luttent contre les antennes relais, et bien sûr les opérateurs seront présents pour tenter de trouver un consensus. Le bras s'enclenche dès lundi. envoyé par ECODURABLE le 20/04/2009 @ 20:32

Oui, car les associations, comme Robin des Toits, ont décidé de faire appel massivement à la justice dès lundi. Vous vous souvenez peut-être que la justice a ordonné depuis deux mois plusieurs démontages d'antennes au bénéfice du doute, en application du principe de précaution. Puisque qu'ils ne comprennent sur les décisions de justice, disent les associations, allons-y franchement! Elles déposent donc dès lundi et d'ici jeudi, 15 nouvelles plaintes.

Ce que demandent les associations, c'est qu'on diminue la puissance des antennes. En France, elles peuvent émettre de 41 à 61 volts par mètre. Pour vous donner quelques idées de comparaison, la norme est de 6 volts par mètre en Italie, 3 au Luxembourg, 3 dans la région de Bruxelles. A Paris, la norme, c'est 2 volts par mètre seulement, en vertu d'une convention signée entre les opérateurs et la ville. "Fixons cette norme à 0,6 en France!", demandent les associations. Ce sera bientôt la norme maximale au Lichstenstein...

Existe-t-il déjà des mesures des ondes des antennes relais? Où peut-on les consulter?
Oui, la liste de toutes les émetteurs d'ondes électromagnétiques, pas seulement les antennes-relais. Tout est en ligne sur le site cartoradio.fr, le site de l'agence nationale des fréquences avec les resultats de toutes les mesures. Dans les grandes villes, c'est mesuré quasiment à chaque coin de rue.

L'info en plus: il n'y aura sans doute pas de décision jeudi lors du Grenelle des antennes... Il y aura encore quelques réunions de travail, rien ne sera tranché avant au moins un mois.
source E1

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