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Projet Alter en Bretagne : objectif autonomie énergétique envoyé par ECODURABLE.fr le 26/08/2009 @ 21:35

Ce n’est encore qu’un projet sur papier, mais il a le mérite d’avoir suscité quelques articles dans la presse locale.
Le Projet Alter, document de 40 pages, vient d’être publié en ligne par l’UDB (Union Démocratique Bretonne, groupe politique breton) rédigé sous la coordination de Gwenael Henry. Sous titré “un avenir soutenable pour la bretagne“, il pose les bonnes questions et postule les bonnes orientations, en référence aux nombreuses nuisances dont a eu à souffrir la vieille péninsule armoricaine, parmi lesquelles marées noires ou menaces d’implantations nucléaires  : “Ni Portsall, ni Tchernobyl” (1).
Une société mutante

Le document fait le point sur l’évolution sociologique de la Bretagne, qui depuis les années 70 où était proposé le premier projet Alter Breton, a connu des boulversements profonds, la disparition totale de l’ancienne société rurale étant le symptôme d’une mutation économique accomplie depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

Refus du pétrole, refus du nucléaire : retour à la bougie ?

L’argument du retour à la bougie, largement repris depuis les débats occasionnés par la présence croissante des écologistes dans la vie publique, est ici largement balayé : la Bretagne regorge d’énergies alternatives, renouvelables, inépuisables. La biomasse, l’énergie éolienne, l’énergie de l’océan sont des pistes qui ne sont toutefois viables que dans le cadre d’un changement radical des processus de production et de consommation de l’énergie qui aujourd’hui sont encore trop centralisés.

Les pistes

En refusant de faire du long terme une extrapolation de le société actuelle, le projet Alter cherche à satisfaire les besoins fondamentaux des hommes et des femmes de notre époque, en rejetant tout gaspillage. Il suppose une autre façon de vivre, plus économique, mais confortablement :

* Les conditions de logement et l’équipement domestique prévus sont supérieurs à la situation actuelle : logement 100 m² par ménage ; équipement intérieur équivalent avec 1,5 fois le niveau actuel, mais durant 2 fois plus longtemps : « Ces niveaux suffisent à assurer une vie matérielle confortable pour tous, à condition d’une juste répartition des biens correspondants ».
* La vie collective est facilitée : locaux sociaux et scolaires plus nombreux.
* Les conditions de production sont totalement revues :

*
o unités de production plus petites et mieux réparties sur le territoire, les communes rurales sont revitalisées autour de complexes agro-énergétiques ;
o on recherche une économie systématique de la consommation (au moins 15 %) ;
o on produit des biens plus durables et les déchets sont récupérés ;
* l’aménagement du territoire est remodelé :
o arrêt du développement des hypervilles, développement des petites agglomérations(10 000 habitants), le maillage territorial de la Bretagne s’y prête très bien ;
o utilisation systématique des sols pour les cultures vivrières, énergétiques ou pour les capteurs solaires ;

En savoir plus : le Projet Alter Breton

Pollution de l'air intérieur: «La France est très en retard» envoyé par ECODURABLE.fr le 26/08/2009 @ 05:04

L'UFC-Que Choisir alerte depuis 15 ans sur les substances chimiques cancérigènes utilisées par les fabricants d'objets de décoration ou de produits ménagers. Les choses sont sur le point de bouger.
Partout. Dans les produits d’entretien, dans les parquets, les moquettes, les commodes… La plupart des objets de décoration et des matériaux de construction émettent dans l'atmosphère des substances chimiques (type benzène ou formaldéhyde), reconnus cancérigènes par l’OMS.

L’UFC-Que Choisir alerte sur les problèmes de pollution de l’air intérieur depuis une quinzaine d’années… On a le sentiment que les choses n’avancent pas. Pourquoi ?

La France part de loin pour ne pas dire de zéro. On est très en retard par rapport à nos voisins européens, comme l’Allemagne qui a adopté des normes strictes depuis plusieurs années. En France, les pouvoirs publics se sont reposés sur le projet de régementation européenne Reach de 2006.

Mais au bout du compte, ce nouveau cadre réglementaire est bien en deçà de nos attentes. Il prévoit d’étudier l’impact sur la santé d’un tiers seulement des 100.0000 substances chimiques existantes dans l’air ambiant. Quant à la nouvelle Agence européenne des produits chimiques, elle n’a pas le pouvoir de contraindre les fabricants d’arrêter l’utilisation des substances dangereuses. Elle peut juste faire pression...

Pourquoi ne pas interdire purement et simplement ces substances dangereuses ?

Ce serait l’idéal, évidemment. C'est ce que l'on demande depuis des années, au moins concernant les substances reconnues comme dangereuses. Pour le reste, il faut poursuivre les recherches, on n’en sait pas assez. Pour vous donner une idée, nos connaissances ne recouvrent que 1% des quantités totales de substances chimiques!

Le Grenelle de l'environnement n'a t-il pas fait avancer les choses?

Si, disons que la dynamique est lancée. Début 2008, un rapport parlementaire a considéré pour la première fois les pollutions intérieures comme un problème de santé publique, proposant des préconisations concrètes. Certaines ont été reprises dans le cadre du Grenelle. L’article 35 prévoit des mesures d'interdiction ou d'étiquetage pour les matériaux de construction et de décoration. Mais la plupart des produits de grande consommation ne sont pas encore concernés.

Un premier pas pour aller plus loin ?

On va maintenir la pression pour s’assurer de l’application de la loi. Et ensuite, on va essayer de peser dans le cadre du Grenelle 2. Notamment pour apporter une meilleure information aux consommateurs sur les risques de certains produits. C’est le meilleur moyen pour inciter les industriels à trouver des palliatifs à ces substances toxiques. Il faut créer un cercle vertueux, un peu sur le modèle du business de l’écologie. Les fabricants mettent en avant leur label «respect pour l’environnement» pour vendre, pourquoi ne s'engagerait-il pas sur le terrain de la santé de la même manière?

Ce qui veut dire qu’un produit respectant l’environnement n’est pas exempt de substance chimique dangereuse pour la santé ?

Il n'y a pas forcément de lien. Prenons le cas du label «l'Arbre vert», que l’on trouve sur les produits d’entretien. Si on regarde le cahier des charges des industriels, il y a en effet des normes contraignantes en vue de respecter l’environnement mais rien concernant l’impact sur la santé.

Autre exemple révélateur: les pots de peinture. La plupart d’entre eux, y compris ceux qui ont la norme «NF Environnement» écrit en gros, émettent énormément de substances chimiques. De l’ordre de 3.000 microgrammes de cov (composés organiques volatils) par mètre cube… Là où la norme de confort est établie à 200 microgrammes par mètre cube!

Télécharger l'étude de l'UFC-Que Choisir en pdf, en
cliquant ici

Bretagne : la région s’engage contre les algues vertes envoyé par ECODURABLE le 24/08/2009 @ 19:50

Pas de résultat : c’est aujourd’hui une demande appuyée, maintes fois refusée à Paris, que réitère au nom du conseil Régional de Bretagne son président Jean Yves Le Drian. Dans une lettre au Premier ministre, Jean-Yves Le Drian (PS) demande à François Fillon que la région Bretagne devienne “le coordinateur des actions (pour améliorer la qualité de l’eau) sur son territoire”, soulignant que “toutes les actions mises en oeuvre jusqu’à présent se sont révélées insuffisantes” (Lire communiqués)

“Malgré les mesures mises en place par l’Etat, seule autorité compétente en la matière, la situation ne s’améliore pas. C’est pourquoi la Région Bretagne a déjà réclamé, à de nombreuses reprises, un droit à l’expérimentation sur la politique de l’eau, droit qui lui a pour l’instant été refusé. Elle constate que la chaîne de décision ne fonctionne pas, que les maires concernés sont livrés à eux-mêmes, et qu’il est donc nécessaire d’innover en permettant enfin au Conseil Régional de jouer son rôle de coordinateur sur son territoire.”

Le problème des algues vertes qui souillent une partie du littoral breton depuis plus d’une trentaine d’années a été relancé fin juillet avec la mort d’un cheval sur la plage de Saint-Michel-en-Grève (Côtes-d’Armor), provoquée vraisemblablement par l’inhalation d’hydrogène sulfuré dégagé par des algues en décomposition accumulées sur cette plage de la baie de Lannion. Son cavalier, qui avait perdu connaissance, a pu être sauvé par des témoins intervenus très rapidement.

Les algues vertes, dont la prolifération est favorisée par les nitrates d’origine agricole, constituent désormais, selon M. Le Drian, un “problème de santé publique” qui est “en train de prendre des proportions insupportables pour les populations locales”.

Il préconise la mise en place d’un SDAGE (schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux) “spécifique au territoire breton”, plutôt qu’un SDAGE Loire-Bretagne en projet qui “couvre un territoire trop important et des problèmes trop divers pour être réellement efficace”.

M. Le Drian propose aussi de faire de la baie de Lannion un territoire-pilote “en vue de la reconquête de la qualité de l’eau”, avec accélération de la mise aux normes des exploitations agricoles et des stations d’épuration, ainsi qu’une intensification des efforts de recherche.

Le plan proposé ferait l’objet d’un contrat réunissant tous les acteurs concernés, Etat, Conseil régional, Conseil général des Côtes d’Armor, chambre d’agriculture, élus locaux et structures de recherche des universités, propose le président de la région.

Lire aussi:

* Ecologie, Andre Ollivro le Coriace

* Epandage du lisier, André Pochon en colère

Panneaux solaires : c’est l’effervescence chez les particuliers envoyé par ECODURABLE le 24/08/2009 @ 05:30

La carotte fiscale fonctionne : Le nombre de demandes de raccordement de panneaux solaires photovoltaïques au réseau électrique, en forte hausse depuis deux ans, a presque doublé depuis un an, a indiqué mercredi Electricité réseau distribution de France (ERDF) dans un communiqué relayé par l’Agence France Presse. Portée par des incitations fiscales, l’énergie solaire photovoltaïque est en progression relative en France depuis 2007.
ERDF a reçu durant les six premiers mois de l’année 22.826 demandes de “producteurs” (essentiellement des particuliers) voulant raccorder leur installation solaire au réseau électrique.

A titre de comparaison, la filiale d’EDF avait reçu 12.056 demandes durant les six premiers mois de 2008, et 25.000 pour l’ensemble de l’année. Le nombre de demandes avait été de 1.600 en 2006 et de 7.000 en 2007.

“Nous avons été submergés de demandes ces dernières années”, raconte Bruno Fort, chef de département à la direction raccordement d’ERDF. “Nous n’avions pas imaginé que le développement des panneaux solaires se fasse aussi rapidement”, reconnaît-il dans un entretien qu’il a accordé à l’AFP.

L’augmentation du nombre de raccordements au réseau électrique a provoqué un engorgement des services d’ERDF, engendrant des délais de traitement de plusieurs mois.

“C’est un des éléments d’insatisfaction de nos clients qui veulent être raccordés le plus rapidement possible”, note M. Fort.

Dans son rapport annuel 2008, ERDF jugeait le délai de raccordement “trop élevé” indiquant qu’il pouvait “atteindre huit mois”.Il était retombé à 5 mois en moyenne au 1er trimestre 2009, selon Bruno Fort. Les régions dans lesquelles les délais sont les plus longs sont Provence-Alpes-Côte d’Azur, Languedoc-Roussillon et la Bourgogne, qui sont aussi les régions dans lesquelles les demandes sont les plus nombreuses, du fait d’un niveau d’ensoleillement élevé.

Les États-Unis et la Chine signent un mémorandum justifiant leur engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique envoyé par ECODURABLE.fr le 09/08/2009 @ 09:22

Les États-Unis et la Chine ont confirmé leur volonté de lutter contre le réchauffement climatique par la signature d’un mémorandum sur le changement climatique lors du dernier dialogue stratégique et économique. Cet accord témoigne de l’engagement des deux puissances dans la protection de l’écologie mondiale malgré le progrès.

États-Unis et Chine : valorisation de la lutte contre le réchauffement climatique
Le premier dialogue stratégique et économique entre la Chine et les États-Unis s’est tenu le 27 et 28 juillet dernier à Washington. Le dialogue a vu la participation de hautes personnalités chinoises et américaines comme le secrétaire d’Etat américain Hilary Clinton, le conseiller d’Etat chinois Dai Bingguo, le secrétaire américain à l’Energie Steven Chu ou encore le président des États-Unis Barack Obama et le vice premier-ministre chinois Wang Qishan pour les discours lors de la cérémonie d’ouverture. Sans parler des stratégies adoptées pour l’intérêt commun des deux pays, le dialogue portait aussi sur des problèmes d’envergure mondiale à savoir le réchauffement climatique et la protection de l’environnement.

Au deuxième jour du dialogue, la Chine et les États-Unis ont pris la décision de signer un mémorandum portant sur leur engagement sincère dans la lutte contre le réchauffement climatique. Les États-Unis et la Chine sont effectivement vus comme des pays record dans l’émission de gaz à effet de serre dans le monde. La preuve, les États-Unis ont refusé de ratifier le protocole de Kyoto sous prétexte que la stratégie de réduction de gaz à effet de serre définie dans la charte va à l’encontre du développement économique et industriel du pays. Le protocole d’accord nouvellement signé entre les États-Unis et la Chine a été édifié de manière à permettre la protection de l’environnement sans nuire à la coopération bilatérale et au développement des deux pays.

Le tourisme responsable : Une préocupation des jeunes générations ? envoyé par ECODURABLE.fr le 01/08/2009 @ 07:58

le site VoyagerMoinsCher.com publie cette semaine les conclusions d’une étude réalisée par l’institut OpinionWay (voir détails en fin d’article) : Les jeunes générations, sensibles aux questions de développement durable, conduisent le secteur du tourisme à initier une offre de « voyages verts ».

Les comportements individuels commencent à évoluer même s’il subsiste des disparités et notamment un clivage important entre les générations.

Les jeunes générations plus sensibles au « tourisme responsable »

En effet si seulement 32 % des Français déclarent être prêts à adopter un comportement responsable sur le lieu de leurs vacances, les attitudes semblent assez différentes en fonction des tranches d’âge interrogées :

20 % des jeunes adultes sont prêts à privilégier le choix du train pour réduire l’impact de leurs vacances sur l’environnement. Une démarche qui chute à 10 % chez les plus de 60 ans.

Pour plus de 60 % des français de plus de 60 ans, le facteur environnemental n’a aucune influence dans le choix de leur voyage, alors que c’est un critère de choix pour un jeune sur deux (18- 24 ans).

Une rubrique dédiée au tourisme responsable pour guider les internautes

Parce qu’il est parfois difficile pour les internautes qui souhaitent réaliser leurs projets de “voyages verts” de trouver des réponses adaptées, VoyagerMoinsCher.com propose une catégorie

« Ecotourisme / Tourisme Responsable »

(http://www.voyagermoinscher.com/theme/tourisme_responsable.asp),

accessible depuis la rubrique « Voyages à Thème », dans laquelle ils vont trouver à la fois :
- une sélection des voyagistes les plus engagés dans le tourisme responsable, ainsi que quelques exemples d’offres de voyages verts qu’ils proposent, tels que :

Mongolie - « Easy Rider écolo » : randonnée équestre de 13 jours au cœur des grands espaces de la steppe, à la rencontre des nomades, avec logement sous la yourte.

République Dominicaine – « All inclusive dans le respect de l’environnement » : loin des côtes bétonnées, séjour dans un hôtel en harmonie avec son environnement, dont l’architecture privilégie les ressources naturelles propres à son milieu telles que pierre, cocotier, bois et canne à sucre.

- un accès direct vers les sites d’information sur le tourisme responsable, les associations, les labels, etc. http://www.VoyagerMoinsCher.com a référencé des sites au contenu utile et sérieux afin de permettre aux internautes qui le désirent de trouver des indications fiables et de faire un choix responsable pour leurs vacances vertes.

« Aujourd’hui, le choix d’un voyage vert pour ses vacances est essentiellement le fruit d’une démarche individuelle, mais nous pensons que cela préfigure un mouvement plus général qui correspond à l’évolution des comportements de notre société. » Explique Arnaud Barey, Directeur Général de VoyagerMoinsCher.com, «Même si l’offre est encore restreinte, cette rubrique permet de faciliter l’accès du plus grand nombre au tourisme responsable ».

*Etude réalisée par OpinionWay pour VoyagerMoinsCher.com : « Les Vacances des Français en 2009 » en avril 2009 sur 1082 répondants au global, auprès d’internautes âgés de 18 ans et plus, représentatifs de la population française des internautes (sur des critères de sexe, d’âge, de CSP et de région UDA, source INSEE).

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