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Les poêles anti-adhésives sont-elles dangereuses ? envoyé par ECOURABLE le 28/09/2009 @ 05:22

L'acide utilisé pour rendre les poêles anti-adhésives qui serait cancérigène.
Si l'on en croit l'AFSSA, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments, les poêles anti-adhésives ne sont pas dangereuses. Un avis que le Réseau environnement santé remet cependant en doute, de la même façon qu'il l'avait fait pour le bisphénol A.

En cause : un acide, le PFOA, pour perfluorooctanoïque. Ce PFOA est utilisé dans le revêtement anti-adhésif des poêles et autres ustensiles de cuisine, mais aussi dans les cartons et les tissus traités anti-taches. C'est un composé persistant, donc susceptible de passer dans les aliments lors de la cuisson.

L'AFSSA estime que le risque de contamination est très faible. Et même en cas de contamination, il n'y aurait pas de risques de cancer, et pas de mutation des gênes. Le Réseau environnement santé cite de son côté une étude danoise très récente qui montre que cet acide est un perturbateur endocrinien. En l'occurrence, il diminue le nombre de spermatozoïdes, parfois à la limite de l'infertilité. Une étude avait déjà pointé du doigt des cas de cancers chez les travailleurs exposés au PFOA. Enfin chez l'animal, depuis des années, on a identifié des troubles de la reproduction, et des cancers du foie et du pancréas.

Le Réseau environnement santé demande qu'on reprenne sérieusement toutes les analyses et qu'on en tire toutes les conséquences puisque des poêles sans PFOA existent. Aux Etats Unis, sans l'interdire, il est demandé depuis trois ans aux industriels de réduire, et bientôt de cesser, les émissions de PFOA.
Source E1

L'Europe n'interdit pas le commerce du thon rouge envoyé par ECODURABLE.fr le 25/09/2009 @ 04:56

Les membres de l'UE n'ayant pas réussi à se mettre d'accord, la pêche peut continuer malgré les stocks de poissons très bas.
Le principe d'une interdiction mondiale du commerce du thon rouge n'a pas trouvé lundi une majorité requise parmi les pays européens. Elle aurait suspendu de facto la pêche. La Commission européenne, à l'origine de la proposition, a regretté cette décision.
"Tous les pays riverains de la Méditerranée se sont prononcés contre", a précisé à l'AFP une source européenne proche du dossier. En conséquence, la proposition n'a pas obtenu la majorité qualifiée qui était requise. "Il n'y a pas eu de vote formel, mais un tour de table au cours duquel la Commission a compris que sa proposition n'aurait pas la majorité", a-t-on précisé de source diplomatique.
Bruxelles proposait de co-parrainer une proposition de Monaco d'inscrire le thon rouge à l'Annexe I de la Convention de l'Onu sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), à titre provisoire, en attendant les prochaines évaluations scientifiques de l'état des stocks de thon.
Lors du tour de table, de nombreux Etats ont estimé qu'il était "prématuré pour l'UE de co-parrainer cette proposition" et qu'il valait mieux attendre "et écouter les scientifiques", a précisé un diplomate sous couvert d'anonymat. Une fois l'avis des scientifiques publié en novembre, la Commission pourra faire une nouvelle proposition aux gouvernements européens, a-t-il estimé.
L'organisation écologiste Greenpeace a appelé les gouvernements européens à "écouter les scientifiques". "L'attitude bornée des gouvernements méditerranéens risque de conduire à l'extinction du thon rouge et de laisser les pêcheurs les mains vides en quelques années à peine. Mais des pays comme Malte et l'Espagne sont de plus en plus isolés", a commenté Saskia Richartz, responsable européen pour les Océans chez Greenpeace.
source: E1

Combien de CO2 pour un voyage en TGV ? envoyé par ECODURABLE.fr le 24/09/2009 @ 21:10

La SNCF va bientôt indiquer à chaque client les émissions en CO2 de son voyage. A comparer avec d'autres modes de transport.

La destination, le prix et bientôt... les émissions de CO2 qui correspondent au voyage : à partir du mois d'octobre, la SNCF va donner une tonalité plus verte à ses billets de TGV et de Teoz. A chaque réservation sur voyages-sncf.com et pour chaque trajet, le client se verra préciser l'impact exact de son voyage en termes d'émissions de CO2.
L'objectif de la compagnie est de "donner la pleine transparence sur l'impact CO2 des transports", a expliqué mercredi Guillaume Pepy. "Pour le fret, les chargeurs savent déjà quelles sont les émissions de CO2 des trains de marchandises", a aussi rappelé le président de la SNCF.
Au-delà de cette initiative, la SNCF assure faire le maximum, pour que ses voyages soient les plus neutres possibles pour l'environnement. Ecoutez son président Guillaume Pepy :
Connaître la facture énergétique pour le train, c'est bien. Pouvoir comparer train, voiture ou autocar, c'est mieux. Un outil pour cela : l'éco-comparateur. Dans celui proposé par exemple sur le site internet de l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (Ademe), il suffit d'entrer le nombre de kilomètres parcourus et le mode de transport choisi : train, mais aussi voiture essence ou diesel, autocar, deux-roues ou avion. Ne reste plus qu'à faire son choix en toute connaissance de cause.
Source E1

Climat : la semaine qui doit relancer les négociations envoyé par ECODURABLE le 24/09/2009 @ 05:30

Le sommet des Nations unies, mardi, et le G20, jeudi et vendredi, doivent mobiliser les politiques sur le réchauffement climatique.

Le climat sera au coeur de deux sommets en une semaine. Premier round, mardi à l'ONU : "l'objectif du sommet est de faire progresser les négociations sans être lui-même une session de négociations. Il constituera un forum où les dirigeants pourront traiter de problèmes fondamentaux, trouver des bases communes et fournir les directives aux négociateurs", indique l'organisation.
Deux jours plus tard, le président des Etats-Unis accueillera ses pairs du G20 à Pittsburgh. La rencontre sera surtout consacrée à la réforme des institutions financières mais les chefs d'Etats devraient évoquer l'aide des pays industrialisés aux pays en développement confrontés aux changements climatiques.
L'objectif des réunions de la semaine est avant tout de donner un nouvel élan aux négociations. Le rappel des engagements pris par les chefs d'Etat et de gouvernement pourrait relancer un processus qui tarde à donner des résultats. Les propos du président américain et de son homologue chinois Hu Jintao sont particulièrement attendus. A Pittsburgh, Barack Obama pourrait saisir l'occasion pour prendre la tête du combat climatique, comme il s'y est engagé avant son élection.
Le président des Etats-Unis va probablement dresser un premier bilan de son action à la Maison blanche, en rappelant notamment les milliards de dollars investis dans les énergies renouvelables dans le cadre du plan de relance de l'économie et les nouvelles normes automobiles en matière d'émission de gaz à effet de serre. Ses partenaires internationaux et les mouvements de défense de l'environnement attendent toutefois beaucoup plus qu'un bilan.
Dans le cadre des préparatifs du sommet de Copenhague, un nouveau cycle de négociations s'ouvrira lundi prochain à Bangkok et un autre aura lieu début novembre à Barcelone. En décembre, les chefs d'Etat et de gouvernement du monde entier devront conclure un accord pour limiter l'émission de gaz à effet de serre. Il devra entrer en vigueur en janvier 2013, à l'expiration de la première phase du Protocole de Kyoto.
source: E1

Inauguration plus grand parc éolien en mer du monde envoyé par ECODURABLE le 21/09/2009 @ 05:19

Le groupe énergétique Danois Dong Energy a inauguré jeudi en mer du Nord le plus grand parc éolien marin au monde, avec près d’une centaine d’éoliennes pouvant produire de l’électricité pour couvrir les besoins annuels de 200.000 foyers.
Baptisé Horns Rev 2, il est composé de 91 éoliennes d’une capacité de capacité de 2,3 mégawatts/heure (MWh) chacune. Fabriquées par Siemens, elles sont implantées sur une surface sur 35 km2 au coeur d’une zone dont la particularité est d’être le premier parc éolien de la planète à être équipé d’un transformateur et d’une plate-forme d’habitation pour 24 personnes chargées de la maintenance et de la surveillance de la production électrique.

Inauguré par le prince héritier Frederik de Danemark, ce parc d’une capacité totale de 210 MW, et d’un coût de 3,5 milliards de couronnes (469 millions d’euros), est le neuvième parc offshore installé au Danemark depuis 1991 et produira, selon les prévisions, 800 gigawatts/heure (GWh) en moyenne par an.

Horns Rev 2 est situé au nord d’un autre parc, Horns Rev 1, appartenant à Dong et au suédois Vattenfall, construit en 2002 et renfermant 80 éoliennes, d’une capacité de 160 MW.

La ministre du Climat et de l’Energie, Connie Hedegaard, a salué, dans un communiqué, un lancement qui « cimente la position du Danemark de champion mondial de l’électricité éolienne ».

« Près de 20% de la consommation électrique danoise sont couverts par l’énergie éolienne », a-t-elle souligné, ajoutant que le gouvernement « ne comptait pas s’arrêter là » et prévoit de tripler les capacités offshore dans les 4 années à venir », avec notamment un parc off-shore de 400 MW en 2012 au large de l’île d’Anholt, dans la mer du Kattegat (nord).

La capacité totale des 9 parcs offshore du Danemark est de 631 MW.

Lien : Infos techniques et photos de ce parc sur le site de l’entreprise

Les abeilles dans le cirage envoyé par ECODURABLE.fr le 19/09/2009 @ 11:15

A Apimondia, au congrès mondial de l’apiculture, les menaces sur l’insecte polarisent les débats.

Ça bourdonne, ça butine, ça buzze un max. Apimondia, quarante et unième congrès mondial sur l’abeille, est une ruche humaine. Jusque samedi, Apimondia, ouvert au grand public, rassemble à Montpellier scientifiques, apiculteurs et exposants professionnels autour d’une inquiétude : l’abeille domestique Apis Mellifera est-elle en danger ?

En Europe, Apimondia annonce 30 % de pertes cette année (sur 13,6 millions de colonies), contre 5 % auparavant. Mais il n’y a aucune donnée officielle. Comme les apiculteurs reconstituent chaque fois leurs colonies, bien malin qui peut sortir un chiffre fiable.

Même incertitude sur les causes. Chaque pays privilégie sa thèse. En France, on incrimine les pesticides (Gaucho, Regent, Cruise). Mais les causes sont multiples, de l’acarien Varroa Destructor au microchampignon parasitaire Nosema, en passant par le frelon asiatique Vespa Velutina, qui gobe les abeilles. Et d’abord, l’homme : «Nous sommes tous responsables», assure Gilles Ratia, président du congrès.

Qui incrimine les travers des humains : pollution hertzienne, dégradation de la biodiversité, pollution de l’eau, cultures OGM. Et les erreurs des apiculteurs : surnourrissement des colonies, transhumances répétées, accumulation de traitement antivarroa.

L’abeille, insecte vieux de plus de 60 millions d’années, est aujourd’hui plus à l’aise en ville (moins de pesticides, plus de fleurs à butiner) qu’à la campagne. Un comble. «L’abeille est un des grands défis à résoudre, avec l’eau, l’énergie, les rapports Nord-Sud», résume Henri Clément, organisateur d’Apimondia.

VERS L'EXTINCTION?

Le Colony Collapse Disorder (CCD), ou « syndrome d'effondrement des colonies », frappe beaucoup, notamment aux Etats-Unis. Les abeilles travailleuses ne reviennent pas à la rûche, elles prennent une RTT, mais définitive. Selon une étude récente, autour du chercheur américain Dennis van Engelsdorp, il y a de multiples facteurs: « Sur 61 variables quantifiables, aucune n'émerge comme cause quasi-certaine des CCD. »

Pour Gilles Ratia, « l'explication passe-partout n'existe pas ». Agriculture intensive, uniformisation des cultures, régression des espaces naturels, changements climatiques, sècheresse sont pointés du doigt. Ratia dénombre « quinze possibles raisons, toutes issues des "progrès" de nos civilisations avancées ». Et de leurs appétits: au Maghreb, les besoins occidentaux en huiles essentielles de thym et d'origan « tarissent les sources de nectar séculaires ».

Gérard Arnold, chercheur au CNRS, tempère: « Il n'y a pas de danger que les abeilles disparaissent si on s'en donne les moyens. »

LA POLLINISATION MENACEE

« Tous les pollinisateurs sauvages sont en déclin », affirme Henri Clément, président de l'Union nationale des apiculteurs français (UNAF). Or, selon lui, 35% des ressources alimentaires dépendent de la pollinisation assurée par les insectes, dont 80% par les abeilles. « 65% de notre diversité alimentaire en dépend. »

La sauvegarde des abeilles dépasse donc le monde des apiculteurs. Selon une étude parue en mai dans Current Biology, le stock d'abeilles grandit plus lentement que la demande pour la pollinisation: le nombre de ruches a augmenté de 45% dans le demi-siècle passé, alors que la part d'agriculture dépendant de la pollinisation a cru de 300%.

On a estimé le labeur des abeilles à 153 milliards d'euros par an, s'il fallait le remplacer par du travail humain. Ce qui, selon Clément, se fait déjà dans le Sichuan, en Chine, où l'on assure la pollinisation à la main, faute d'abeilles. En Californie, pour la même raison, la production d'amandes aurait baissé de 30%. Et la location de ruches pour la pollinisation y est passée de 50 à 150 dollars. Au moins une bonne nouvelle.

"NOSEMA", LE PARASITE

Ce champignon crée des lésions mortelles. Selon le vétérinaire espagnol Mariano Higes, qui a mis en évidence Nosema chez deux apiculteurs de son pays, la maladie peut se développer pendant près de deux ans sans que l'homme s'en aperçoive, car les abeilles compensent. « Quand le mécanisme de compensation est fini, les abeilles meurent. »

Mais pas de catastrophisme. D'abord, Nosema ne va pas éliminer les abeilles, « car un parasite ne tue pas son hôte ». Ensuite, « si on contrôle correctement Nosema et Varroa [l'acarien], on améliorera grandement la situation », affirme Higes. On pourra alors traiter les problèmes « plus ponctuels » comme les pesticides, « surtout présents dans les régions à forte agriculture intensive ».

Au contraire de la France, dit Higes, les apiculteurs espagnols placent plutôt leurs ruches dans les régions sauvages, « car le miel de romarin se vend plus cher, donc ils ne se mettent pas près des cultures de tournesol ». Higes évoque une situation contrastée dans son pays, passé « de un million de ruches en 1980 à trois millions aujourd'hui, grâce aux subventions européennes ». Résultat: « Nous avons plus de problèmes, car nous avons plus de colonies. »

LES PESTICIDES, DES NUISIBLES


Ça se passe dans la haute vallée du Rhin, en Allemagne. Enrobés avec du Poncho, un pesticide de Bayer, des semis de maïs deviennent des petites pilules rouges. On les surnomme les « smarties ». Selon l'apiculteur Walter Haefeker, le pesticide se répand, via la poussière provoquée lors des semailles, jusqu'aux abeilles, qui meurent. Bayer conteste. « Les apiculteurs reçoivent un dédommagement. Mais ils doivent signer un document s'engageant à ne pas poursuivre Bayer, et se débarrasser des pollens contaminés, affirme Haefeker. Comme ça, les preuves disparaissent. »

Selon Haefeker, le problème « est officiellement attribué à un mauvais traitement des semences ». Mais sans que soient communiqués les lots concernés ou le fabricant sous-traitant. « Finalement, en mai 2008, huit traitements de semences ont été suspendus, une énorme victoire pour nous. » Mais la semaine suivante, un nouveau pesticide est autorisé. Et Haefeker s'inquiète: « Les agences gouvernementales et les scientifiques doivent se rappeler qu'ils sont là pour protéger le public et l'environnement, pas pour éviter des procès aux multinationales. »

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