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Mini electrique, bientôt disponible pour quelques privilégiés envoyé par ECODURABLE.fr le 16/09/2009 @ 05:07

Peu à peu les voitures électriques sont l’objet d’annonces prometteuses d’arrivée sur le marché grand public pour la mi 2010.
On attend la blue car (initialement prévue mi 2009, repoussée à 2010), la nissan Leaf, ou la peugeot Ion, ou encore la Hyundai i10 Electric. Toutes attendues pour 2010, elles seront présentées au salon automobile de Francfort, qui ouvrira ses portes au public jeudi prochain. La Mini electrique, quant à elle, débarquera elle aussi courant 2010 mais en série limitée à quelques centaines de clients test, pour une location mensuelle de l’ordre de 700 euros, assurance incluse évidemment, dans le cadre d’un projet pilote.

Dotée d’une autonomie maximum de 250 km en conduite économique, elle imposera à ses heureux locataires l’installation d’un boitier mural haute tension, permettant une temps de chargement réduit à 3 heures. En raison de la taille des batteries Li ion, la Mini E ne pourra transporter que 2 personnes, avec une charge autorisée de 195 kgs sur un espace de chargement de 60l dans le coffre.

Couverture énergétique avec fenêtres de toit intégrées envoyé par ECODURABLE le 11/09/2009 @ 05:32

C’est l’entreprise SYSTAIC France qui est à l’origine du concept de « couverture énergétique », un système de panneaux solaires photovoltaiques faciles à) mettre en oeuvre sur les toits.
L’enterprise travaille en ce moment sur l’un de ses premiers chantiers, sur le futur centre de formation du Groupe Maisons & Cités, premier bailleur social de la région Nord-Pas-de-Calais, en équipant le toit de la couverture énergétique SYSTAIC.

Les panneaux SYSTAIC, installés sur le toit du futur centre de formation Maisons & Cités sur la commune de Noyelles-sous-Lens, s’étendent sur 200 m2 en y intégrant, grâce à un procédé innovant Click and Connect, des unités énergétiques, des panneaux factices et des fenêtres de toit.

Le procédé Click & Connect est une nouvelle technologie de fixation et de connexion sans câble ni vis apparent permettant une connexion électrique et mécanique rapide, en une seule opération.

L’ensemble de la toiture conserve ainsi tout son caractère homogène. Cette couverture énergétique esthétique et moderne d’une puissance de 18,2 kWc produira 14 500 kWh/an soit la consommation annuelle de 6 foyers.

Le Groupe Maisons & Cités s’inscrit avec ce chantier de centre de formation dans une démarche de Haute qualité Environnementale. Le projet est une rénovation d’un bâtiment existant et la construction d’une extension de 1 100m2. Outre la couverture énergétique SYSTAIC, le centre de formation d’une superficie de 2 500 m2 est équipé de puits canadiens et d’un système de récupération d’eau de pluie

SYSTAIC France : Entreprise spécialisée dans la couverture énergétique. Elle distribue et installe une nouvelle génération de systèmes de production d’énergie solaire dont la technologie et l’aspect esthétique se différencient de manière significative des autres systèmes disponibles sur le marché français. En janvier 2009, L’entreprise Systaic a gagné pour la deuxième fois le prix de « l’innovation pour l’Architecture et la Construction » qui a été remis à l’occasion du salon de Bau par l’Association for Know-How Transfer et AIT, magazine spécialisé d’architecture.

Hywind, première éolienne flottante en mer inaugurée en mer du Nord envoyé par ECODURABLE.fr le 09/09/2009 @ 20:24

Alors que la production de pétrole en Mer du Nord poursuit un déclin prononcé (lire cet article et notre archive peak oil), c’est justement une compagnie pétrolière Norvégienne, StatoilHydro, qui devient précurseur en installant Hywind, la première éolienne flottante de grande envergure, un modèle qui permet d’éliminer les nuisances traditionnellement associées à cette forme d’énergie.
Celle ci a été inaugurée mardi en mer du Nord au large de la Norvège.
Des éoliennes offshore statiques –reposant sur un support fixé aux fonds marins à quelques dizaines de mètres sous la surface de l’eau– existent déjà mais Hywind est le premier projet d’éolienne flottante, utilisable dans des mers de 120 à 700 mètres de profondeur.

« Cela a de gros avantages: ça ne se voit pas forcément de la côte, ça peut être implanté dans des endroits qui ne sont pas utilisés par d’autres, tels les pêcheurs ou les oiseaux, et c’est complètement écologique« , a expliqué Anne Stroemmen Lycke, responsable de l’énergie éolienne chez StatoilHydro, citée par l’AFP.

Hywind a été inauguré par le ministre norvégien du Pétrole et de l’Energie Terje Riis-Johansen à 10 kilomètres au large de Karmoey, une île du sud-ouest de la Norvège.

« Cela ouvre de grandes possibilités commerciales. On peut par exemple utiliser de telles éoliennes dans des pays dont les eaux côtières sont très profondes ou dont la capacité éolienne à terre est saturée« , a ajouté Mme Stroemmen Lycke.

En pratique, l’éolienne flottante, avec ses pales de 40 mètres, culmine à 100 mètres au-dessus de l’eau. Sa partie immergée consiste en un tube, également de 100 mètres de long, dans lequel ont été placés des ballasts (eau et rochers) pour stabiliser l’installation.

Le Japon, la Corée du Sud, la Californie, la côte Est des Etats-Unis ou encore l’Espagne figurent parmi les régions où cette technologie pourrait être exportée, selon StatoilHydro.

Hywind ne démarrera sa production que dans quelques semaines, a précisé le groupe norvégien.

Plus d’infos sur le site officiel StatoilHydro

Solar Roadway : Les autoroutes du soleil envoyé par ECODURABLE.fr le 08/09/2009 @ 05:17

Tant de place perdue : les surfaces bitumées des routes, on le sait, grignotent l’espace vital des faunes et flores, fissurent les habitats, déstabilisent les chaines écologiques en s’implantant telles des barrières infranchissables.
S’il est clair que la place de l’automobile est trop affirmée dans les paysages, on envisage difficilement de revenir en arrière et désaffecter les milliers de kilomètres de routes comme ce fut le cas pour les voies ferrées. Ici en Sud Finistère, les petites voies rayonnant autour de Quimper sont aujourd’hui des circuits de randonnée !!

L’autre solution, moins pérenne mais plus attrayante à court terme, est l’objet d’une entreprise basée dans l’Idaho, aux USA. Scott & Julie Brusaw, fondateurs de l’entreprise Solar Roadways, ont conçu des panneaux solaires destinés à servir de revêtement pour les routes et autoroutes. Utilisation intelligente d’un espace majoritairement voué aux matériaux artificiels, voilà un concept qui s’applique déjà aux toits des surfaces industrielles et commerciales, ou sur les parkings.

Revêtement intelligent

Le revêtement, outre sa fonction de producteur d’électricité, est conçu pour être multi fonction : incorporant des LEDs, il pourra adapter la signalisation au sol en fonction des conditions, ou des passages d’animaux détectés. Equippé de modules de chauffage, il pourra éviter que ne se forment glace et neige. Enfin, et ce n’est pas le moindre des avantages, cette production décentralisée pourrait au final alimenter des prises dans des parkings spécialement équippés pour les batteries des véhicules électriques.

Un premier prototype est en projet, pour un montant de 100000 dollars. L’entreprise affirme que remplacer toutes les routes des USA couterait 5 milliards de dollars (un petit plan de relance) : la production électrique générée serait alors 3 fois suffisante pour alimenter l’ensemble du pays (Lire le communiqué : US DEPARTMENT OF TRANSPORTATION AWARDS $100,000 RESEARCH CONTRACT TO SOLAR ROADWAYS)

La moitié de la savane tropicale du Brésil a disparu envoyé par ECODURABLE.fr le 07/09/2009 @ 05:42

DEFORESTATION - En cause, l'exploitation agricole et la sidérurgie...
La moitié de la végétation du «cerrado», une savane tropicale recouvrant le quart du Brésil, a disparu. La raison? Le développement de l'agriculture, selon des chiffres publiés dimanche par le quotidien local O Globo. Près d'un million des 2,04 kilomètres carrés de cette vaste étendue de végétation broussailleuse et herbeuse, recouvrant huit Etats brésiliens du centre du pays, ont perdu leur couverture végétale originelle, affirme ce journal de Rio.

En cause selon lui, le développement des cultures de soja et de l'élevage de bovins, deux secteurs dans lequel le Brésil est le premier exportateur mondial, mais aussi le dioxyde de carbone émis par les entreprises sidérurgiques. «Ce n'est pas une surprise car le "cerrado" souffre de la déforestation depuis les années 1970. La mauvaise nouvelle, c'est que cela continue», a déclaré à O Globo Braulio Ferreira, qui travaille sur la biodiversité au sein du Ministère de l'Environnement.

Plan de préservation

Selon lui, le ministère est en train d'élaborer un plan de préservation de cette région, fondé notamment sur des mesures régulières de l'avancée de la déforestation, comme cela se fait déjà en Amazonie. Aucun inventaire complet de la flore du cerrado n'a été effectué, mais on y recense plus de 4.000 espèces végétales endémiques. Plus de 1.500 espèces animales endémiques y ont également été enregistrées.

Le Brésil est le quatrième émetteur de gaz à effets de serre de la planète, notamment en raison des déboisements en Amazonie. Ce géant de 8,5 millions de kilomètres carrés a annoncé en décembre un plan national sur le réchauffement climatique dans lequel il se fixait comme objectif, pour la première fois, de réduire de 70% la déforestation d'ici à 2018.

Algues vertes: des associations s'interrogent sur un décès fin juillet envoyé par ECODURABLE.fr le 07/09/2009 @ 05:09

ENVIRONNEMENT - Le décès d'un salarié qui ramassait des algues vertes dans les Côtes-d'Armor suscite les interrogations d'associations et d'un chercheur qui y voient un lien avec les émanations gazeuses toxiques des algues vertes.

"Il y a de fortes suspicions que ce décès soit lié aux algues vertes", a indiqué à l'AFP Yves-Marie Le Lay, de l'association Sauvegarde en Trégor. Selon les associations, l'homme, qui faisait des allers-retours entre Binic et Lantic (Côtes-d'Armor), lieu d'une usine de traitements des déchets, a heurté une barrière de sécurité, puis a fini dans un mur avec son camion, et a été retrouvé mort au pied de son camion victime d'une crise cardiaque. Selon Claude Lesné, médecin au CNRS et au Département de santé publique de l'université de Rennes 1, qui dit ne disposer "d'aucun document écrit" mais a rassemblé des informations, "le chauffeur du camion avait transporté des caissons d'algues vertes en état de décomposition et a été exposé".
M. Lesné a expliqué que "les scénarios" d'intoxication aux algues vertes, dûs au gaz dégagé par la décomposition, ressemblaient "étrangement" à ce décès. "D'après ce qu'on m'a dit il était cyanosé", a-t-il ajouté, expliquant que l'exposition aux algues vertes en décomposition pouvait, entre autres, provoquer un oedème pulmonaire et aussi un accident cardiaque. Samedi, la préfecture a indiqué avoir été informée très récemment de ce décès via "une lettre du président du syndicat mixte de traitement des ordures de Lantic qui liait le décès aux algues vertes". La mort du salarié remonte au 22 juillet, "personne ne s'était manifesté à cette époque", dit-on à la préfecture.
Le préfet a transmis ce courrier au procureur de Saint-Brieuc, "compte tenu du contexte", a-t-on fait savoir à la préfecture. "Nous n'avons pas de position sur ce décès car nous n'avons pas d'éléments", a-t-on ajouté.
Un cheval est mort fin juillet sur une plage de Saint-Michel-en-Grève après avoir inhalé du gaz dégagé par les algues en décomposition accumulées, relançant le débat sur ce phénomène. Le Premier ministre François Fillon s'était rendu en août dans cette commune des Côtes-d'Armor, annonçant que le gouvernement allait "prendre à sa charge" cette année le nettoyage des plages bretonnes.
(AFP)

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