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Les jouets sont-ils écolos ? envoyé par ECODURABLE.fr le 24/11/2009 @ 20:40
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Toxicité des jouets qui vont être offerts à Noël.
C'est déjà la cohue dans les rayons des magasins, à quelques semaines de Noël. Un outil indispensable pour se lancer dans les achats de cadeaux : le magazine 60 millions de consommateurs publie mardi un essai portant sur 66 jouets, en bois ou en plastique. Le résultat est très moyen : 30 des jouets testés contiennent des produits dangereux ou douteux.
Pour les peluches, pas de souci. Les autres jouets, en revanche, contiennent beaucoup de produits toxiques. A commencer par les phtalates, qui ont la propriété de rendre les plastiques plus souples. Prudence également avec certains jouets en bois, d'apparence pourtant plus respectueux de l'environnement. Certains contiennent du formaldéhyde et des métaux lourds dans la peinture.
Faut-il alors priver les enfants de cadeaux à Noël ? Non, heureusement, car pris à part, et s'il n'est pas trop mis à la bouche, chaque jouet n'est pas directement dangereux. Le problème reste l'accumulation d'exposition à des produits risqués. Source: E1 |
L'Inde se dit prête à faire plus pour combattre le réchauffement climatique envoyé par ECODURABLE le 24/11/2009 @ 05:29
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 Le Premier ministre indien Manmohan Singh a affirmé lundi que son pays était prêt à faire plus pour lutter contre le réchauffement climatique à condition que les pays développés prennent des engagements financiers pour contribuer à cette entreprise.
M. Singh s'exprimait à la veille d'un sommet avec le président américain Barack Obama, alors que l'administration de ce dernier a annoncé qu'elle proposerait des objectifs de réduction des émissions carboniques avant la conférence cruciale de Copenhague du 7 au 18 décembre.
"Nous sommes décidés à faire partie des solutions au problème", a déclaré M. Singh devant le Council on Foreign Relations, un centre de réflexion basé aux Etats-Unis.
"Nous avons entrepris de faire ce que nous pouvons avec nos propres ressources. Nous ferons plus s'il y a un soutien international en ce qui concerne les ressources financières et les transferts de technologies", a-t-il ajouté.
L'Inde, la Chine et d'autres pays émergents réclament aux pays occidentaux des technologies et d'autres formes de soutien pour les aider à réduire leurs émissions accusées de contribuer au réchauffement de la planète.
Mais ces pays estiment qu'ils ne devraient pas être contraints de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, faisant valoir que ce sont les pays riches qui portent la responsabilité historique du changement climatique.
"Nous sommes disposés à travailler pour parvenir à une solution qui ne compromette pas le droit des pays en développement de sortir leurs populations de la pauvreté", a souligné M. Singh. |
Avis de bouchons sur le marché de la voiture électrique envoyé par ECODURABLE le 20/11/2009 @ 05:25
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 En 2010, les constructeurs auto prendront le départ de la course aux parts de marché de la voiture électrique. Alors les questions techniques sont encore très nombreuses, le marché semble déjà embouteillé…
Plus qu’à une ruée vers l’électrique ou la mobilité durable, c’est à une ruée vers l’or que l'on assiste. Plusieurs grandes marques tablent, dès aujourd’hui, sur un marché de la voiture electrique représentant 20% du marché automobile mondial en 2020. De quoi faire saliver des constructeurs encore sonnés par la crise.
Alors que personne n’a encore croisé la moindre borne de charge, les modèles et les annonces de sorties s’empilent donc à vitesse accélérée. iOn, Zoé ZE, i-MiEV, C-Zéro, E-Up, Smart électrique et bien d’autres débouleront chez les concessionnaires entre 2010 et 2013. Si certains constructeurs rêvent encore d’une situation hégémonique comme celle de la Toyota Prius sur la technologie hybride, ils devraient rapidement déchanter. On se dit même que le marché de l’électrique pourrait-être saturé dès sa naissance. En effet, rien ne prouve que cette orgie de voiture électrique entraîne une convertion massive d'automobilistes à ce type de mobilité.
L'embarras du choix
Une chose est sûre, le choix sera difficile pour le consommateur. Rendez-vous compte. Entre la iOn de Peugeot, la i-MiEV de Mitsubishi et la C-Zéro de Citroën, vous aurez le choix entre trois voitures pour ainsi dire identiques. Un constat qui s'explique aussi par un optimum technologique. Actuellement, l’immense majorité des voitures électriques présentent des performances relativement semblables tant au niveau de l’autonomie que du temps de charge ou de la vitesse de pointe. Comment diférencier deux voitures électriques de même gabarit ?
La concurrence profitera-t-elle au consommateur ?
C’est donc à un coude à coude concurrentiel qu’il faut s’attendre. Les constructeurs devront recourir d’inventivité et de sens du marketing pour convaincre le consommateur. Une situation qui aurait ses avantages. En effet, qui dit concurrence exacerbée et offre trop importante dit souvent prix attractifs. |
Six degrés de plus qu'aujourd'hui en Antarctique il y a 128.000 ans (étude) envoyé par ECODURABLE le 19/11/2009 @ 04:58
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 Les températures en Antarctique auraient dépassé de 6 degrés les niveaux actuels voici 128.000 ans, soit le double de ce qui était estimé jusque là, selon une étude sur les climats chauds passés, qui pourrait aider à mieux prévoir les conséquences du réchauffement à venir.
Lors de la dernière période interglaciaire, il y a 128.000 ans, le réchauffement du climat avait provoqué une fonte partielle de la calotte glaciaire du Groënland et une hausse du niveau des mers, qui aurait pu être 4 à 6 mètres plus élevé qu'actuellement, rappelle David Noone (Université du Colorado, Etats-Unis) en commentant les résultats de l'étude publiée mercredi.
Ses auteurs ont utilisé des modèles de simulation du climat pour réexaminer l'histoire des températures que révèlent trois carottes de glace prélevées en Antarctique.
Lors des périodes chaudes interglaciaires survenues de façon cyclique au cours des 340.000 dernières années, la composition des glaces de l'Antarctique oriental aurait été moins sensible aux changements de température qu'on le croyait jusque là, expliquent Louise Sime (British Antarctic Survey, Cambridge) et ses collègues dans la revue scientifique Nature.
Pour connaître les températures atmosphériques et la quantité de précipitations du lointain passé, les scientifiques mesurent dans la glace les proportions respectives de certains atomes.
Durant les périodes chaudes interglaciaires, la relation entre température et composition de la glace varie selon les sites. Elle s'avère moins linéaire qu'escompté, d'où la nécessité, selon les chercheurs, de revoir les estimations globales de températures.
Elles auraient été supérieures d'au moins 6 degrés aux températures actuelles, soit environ le double de ce qu'on estimait jusqu'ici (environ 3 degrés).
Soulignant les "graves insuffisances de notre compréhension des climats plus chauds qu'actuellement", les auteurs concluent que les périodes interglaciaires passées "offrent une chance de tester si les conséquences de modèles du futur réchauffement au pôle sont réalistes".
Ils jugent donc "indispensable de confirmer quel niveau de température a été atteint" dans le passé, "avant qu'on puisse évaluer les conséquences d'un tel climat". |
Le déménagement ferroviaire perd du terrain envoyé par ECODURABLE le 18/11/2009 @ 05:12
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 Le déménagement ferroviaire perd du terrain
Déménager par le rail, c'est possible. Mais c'est de moins en moins facile. C'est le sentiment d'un grand réseau d'entreprises de déménagement, les Déménageurs Bretons, qui a décidé de réduire cette activité.
Le fret ferroviaire présente pourtant de nombreux avantages : plus écolo, des dizaines de milliers de tonnes de CO2 économisées chaque année, plus économe et plus sûr.
Problème : dans le cadre de la réforme du fret SNCF, les petites gares de fret ferment les unes après les autres. Le gouvernement a pourtant récemment annoncé 7 milliards d'euros d'investissement pour le fret. Source E1 |
Climat : Copenhague 2009 ou... Mexico 2010 ? envoyé par ECODURABLE le 17/11/2009 @ 05:10
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 Climat : Copenhague 2009 ou... Mexico 2010 ?
Plus le rendez-vous approche, plus le pessimisme monte : le temps pourrait être trop court d'ici à la conférence sur le climat de Copenhague en décembre prochain pour parvenir à un accord qui contienne des engagements chiffrés et contraignants. D'où l'idée qui monte depuis quelques jours : rédiger un premier texte à Copenhague et prévoir d'ores et déjà un nouveau sommet sur le climat pour un accord complet.
"Si nous avons déjà à Copenhague des objectifs clairs (...), et je suis confiant à ce sujet, alors on pourra fixer cela dans un traité six mois plus tard", a commencé à plaider Yvo de Boer, le monsieur climat de l'ONU. Le Danemark, pays organisateur de la conférence de Copenhague, a de son côté évoqué un nouveau rendez-vous dans un an.
Car les négociations avancent à petits pas. La ministre danoise de l'Energie et du Climat a jugé possible de trouver en décembre un "accord politique" écrit, de cinq à huit pages, sur la réduction des émissions de GES et sur l'aide aux pays en voie de développement. Les pays africains, les petits Etats insulaires et certains pays d'Europe semblent les plus déterminés à voir les discussions aboutir. Les Etats-Unis refusent quant à eux toujours de s'engager.
Dans le calendrier, de nouvelles discussions sont d'ores et déjà prévues à Bonn à la mi-2010 et à Mexico en décembre suivant. Le protocole de Kyoto, qu'il s'agit de remplacer, arrive quant à lui à échéance en 2012. Source:E1 |
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