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Va-t-il y avoir des coupures de courant en Bretagne ou en Provence Alpes Côte d'azur? envoyé par ecodurable le 09/01/2009 @ 05:27


Trois records de consommation électriques battus trois jours de suite cette semaine... Du coup, il y a des risques de pannes électriques surtout en Bretagne et en Paca. Pourquoi?


Ce sont toutes les deux ce qu'on appelle des ilôts énergétiques ou des péninsules électriques. En clair, elles sont tout au bout du réseau et c'est ça qui fait leur fragilité.La seule centrale de Bretagne, c'est l'usine marémotrice de La Rance, plus quelques installations au fuel et un peu de renouvelable. Elle ne produit que 7% de ce qu'elle consomme. La Bretagne dépend donc totalement de deux ou trois centrales en bord de Loire, près de Nantes, dans la Manche. Mais ces centrales, elles sont loin donc les câbles sont très longs et plus la ligne électrique est longue, plus il est difficile d'y maintenir la tension. Bref, en Bretagne, l'incident guette et si un incident se produit, on risque une très grosse panne.

Dans le Sud-Est, en revanche, il y a beaucoup de centrales. Quel est le problème de la région PACA ?

Le problème, en Paca, c'est que le sud-est de la région, dont Nice, et dont une partie du Var, est desservi par une seule et unique ligne à très haute tension. Du coup, souvenez vous, il y a tout juste deux mois, un simple orage avait provoqué une méga panne! Et déjà ça surchauffe : 5.000 foyers dans le noir dans le Var, 17.000 dans les Bouches du Rhône.

Alors, depuis la panne de novembre, on a apporté plusieurs améliorations, techniques. A plus long terme, 5 ou 6 ans, on aura un réseau de secours, proprement enfoui dans le sol.

Et puis, en Paca, on va aussi booster les économies d'énergie, et parier sur les énergies renouvelables.

En attendant, moi, je propose des économies toutes simples. On débranche les illuminations de Noël sans attendre la fin du mois.
Brigitte Béjean

Des étiquettes carbone bientôt sur tous nos produits... mais comment on va s'y prendre ? envoyé par ecodurable le 07/01/2009 @ 20:59


Le texte de loi Grenelle 2 présenté ce matin en Conseil des ministres. Une disposition très concrète, très quotidienne, c'est l'affichage carbone qui sera bientôt obligatoire. L'étiquetage carbone, c'est la signature de l'empreinte écologique d'un produit. Et autant le dire tout de suite, c'est un vaste, un énorme chantier qui s'ouvre. La loi Grenelle 2 prévoit que dès janvier 2011, dans deux ans, certains produits devront afficher leur équivalent carbone. Alors attention, rien à voir avec la consommation d'énergie d'un frigo, ou les rejets de CO2 d'une voiture. Ce futur étiquetage, c'est : combien carbone a été rejeté pour que ce produit pour qu'il arrive jusqu'à vous... Et il va donc falloir se lancer dans des calculs très compliqués... dans ce qu'on appelle l'analyse du cycle de vie d'un produit...

Une grande enseigne, en France, s'est déjà lancée dans cet étiquetage. C'est Casino, qui étiquette déjà une centaine de produits. Plusieurs facteurs sont pris en compte. Exemple, pour un produit alimentaire :

- le carbone dépensé sur l'exploitation agricole
- lors de la fabrication
- on ajoute le transport
- et on n'oublie pas l'emballage.

Le résultat est exprimé en grammes de CO2 pour 100g de produits ; le tout présenté sous forme d'un petit curseur sur une échelle, pour qu'on puisse comparer. Autant dire qu'il y a des emplois à la clé, pour inventer ces étiquettes... et certains rêvent déjà qu'elles puissent servir, à plus long terme, à la généralisation du bonus malus.
Brigitte Béjean

Cadeau pas très écolo fait par le gouvernement aux industriels. envoyé par ecodurable le 06/01/2009 @ 20:30


Le gouvernement fait-il un cadeau pas très écolo aux industriels ? Il fait discuter en urgence à l’Assemblée un texte qui modifie la réglementation sur les activités industrielles polluantes.

Oui, c’est une réforme importante pour les risques industriels, une réforme de la procédure d’autorisation des installations classées. Parce qu’on ne fait pas ce qu’on veut comme on veut, en matière d’industrie. Les usines, les carrières, un papetier, un incinérateur ou une raffinerie près de chez vous... Pour certaines activités, il faut faire une simple déclaration. Pour d’autres, plus dangereuses pour la santé ou l'environnement, il faut demander une autorisation.

Et là, la procédure est lourde. Une étude d’impact, un an de délai, information des riverains, contrôles, etc…51.000 établissements concernés. Eh bien le gouvernement crée un régime intermédiaire, un simple enregistrement. Pas d’étude d’impact, et des délais plus courts (4 mois). Bref, une simplification majeure, pour les industriels.

Mais les associations écologistes voient tout ça d’un mauvais œil.

Oui, d’abord parce que ça passe en urgence, sans concertation, dans le cadre du plan de relance. Ensuite, sur le fond, parce que c’est un recul des exigences pour les activités les plus dangereuses, les 51.000. C’est vrai, 20% de ces activités pourront bénéficier de ce nouveau régime, reconnaît le gouvernement comme le travail du bois et des métaux, ou les petits entrepôts et on économisera de la paperasserie et des contrôles. Non, régression, disent les associations qui soulignent qu'il n'y aura plus d'étude d'impact ni d'enquête publique.
Brigitte Béjean

Que faire de son sapin de Noel ? envoyé par ecodurable le 05/01/2009 @ 21:12


Que faire du sapin de Noel ? Allez, il est temps de décrocher les guirlandes et le sapin, il faut le RE-CY-CLER ! Le sapin en vrac sur le trottoir, ce n'est pas une très bonne idée. C'est même interdit, et c'est passible d'une amende de 150 euros. Car le sapin, c'est un déchet végétal, donc cela se transforme. Au minimum, on le brûle ou alors on en fait du compost : on broie le sapin, on le laisse se décomposer, puis on s'en sert pour enrichir les sols ou alors on en fait du paillage pour protéger le sol du froid. bref, un sapin, c'est de la biomasse.

Concrètement, on en fait quoi, du sapin ? Première solution, c'est vous qui l'emmenez à la déchetterie. Renseignez vous, il faut que la déchetterie reprenne les déchets verts, toutes ne le font pas. Et évidemment ce n'est pas toujours très pratique mais la seule solution légale. Deuxième option, la commune organise des collectes spécifiques pour les sapins. Vérifiez sur son site internet. A Cambrai, par exemple, collecte écolo, en charrette tirée par deux chevaux de trait, ce sera mardi 13. Cambrai espère récupérer 2,5 tonnes de conifères, qui donneront une tonne de compost, qui sera revendu à des agriculteurs. A Bordeaux, on installe dès ce matin 12 points de collecte en ville jusqu'au 9 février, soit directement un container, soit un espace délimité par des barrières : 2500 sapins ont été recyclés l'an dernier à Bordeaux. A Lyon, 17 déchetteries peuvent récupérer ces déchets verts, mais il y aura aussi une collecte de proximité, date et lieu indiqués sur le site internet du Grand Lyon. A Paris, si vous déposez votre sapin sur le trottoir, il sera incinéré avec les ordures ménagères. Pas très écolo. La ville reconduit donc la récup' dans les parcs et jardins, tout au long du mois de janvier. 95 points de collecte, cette année, dans la capitale, qui avait récupéré 15.000 sapins l'an dernier.
Brigitte Béjean.

La pollution dans l'espace envoyé par ecodurable le 03/01/2009 @ 07:20


Vous voulez nous parler ce matin de l'environnement spatial car la voûte étoilée est entrain de se transformer en une véritable décharge ce qui commence à poser de sérieux problèmes aux agences spatiales ! Oui, je ne sais si les Gaulois avaient raison de craindre que le ciel leur tombe sur la tête mais il se pourrait bien qu'un jour il se mette à pleuvoir des boulons ! Plus sérieusement, l'espace circumterrestre regorge de lanceurs, boosters, satellites en panne ou en fin de vie, auxquels il faut ajouter les éclats provenant d'explosions d'appareils spatiaux ou les déchets ménagers issus de vaisseaux habités, sans oublier toute la famille constituée d'écrous, de boulons. Voici quelques chiffres officiels, la quantité total des objets découverts et surveillés dont le diamètre dépasse 10 cm frôle les 140.000, le nombre des corps dont le diamètre est inférieur à 10cm oscille entre 200.000 et 250.000 et enfin, ceux dont le diamètre est de 0,1 à 1cm sont entre 70 et 80 millions ! D'accord, mais l'espace c'est infiniment grand, est-ce vraiment problématique ? La difficulté, c'est qu'un élément d'un demi-millimètre qui évolue à une vitesse 10 à 20 fois supérieure à celle d'une balle de fusil peut facilement perforer le scaphandre d'un astronaute (la collision d'une particule aux dimensions supérieures à 1 cm avec un satellite est capable de le mettre hors service). Mais que peut-on faire concrètement pour nettoyer l'espace ? Déjà il importe de réduire le nombre d'appareils lancés en augmentant leur durée de vie et en ayant le plus possible recours à des satellites polyvalents. Les satellites gagneraient à avoir une réserve de combustible pour pouvoir, en fin de vie, descendre vers les couches plus denses de l'atmosphère où ils seront brûlés ou alors sortir par le haut vers des orbites moins peuplées. Peut-être en arriverait-on à des vaisseaux spatiaux benne à ordures. Certains spécialistes envisagent de les désintégrer à l'aide de laser mais cela pourrait aboutir à augmenter considérablement le nombre de débris de petites dimensions ! En tous cas, les spécialistes s'accordent sur un point, si l'on continue ainsi, on va finir par atteindre un seuil critique, un seuil critique où la quantité des débris augmentera de manière exponentielle en raison de collisions de plus en plus fréquentes ce qui pourrait même rendre impossible la poursuite de l'exploration spatiale !

Source: Christian Buchet

L'écoconduite envoyé par ecodurable le 30/12/2008 @ 10:51


Alors que le prix de l'essence joue avec nos nerfs, vous nous proposez ce matin un moyen de moins consommer avec la voiture, qu'elle que soit le modèle et ces économies, on peut les déclencher immédiatement.

Ce moyen c'est : l'éco-conduite. Oui ! une conduite tant à la fois économique, écologique et on pourrait même rajouter citoyenne. Tout va dans le bon sens pour le meilleur. Il suffit de connaître quelques astuces et vous pourrez réaliser de sérieuses économies. D'abord et surtout en adoptant une conduite souple : des études ont montré qu'un conducteur ayant une conduite qualifiée " d'agressive " peut voir augmenter sa consommation de carburant et ses émissions de dioxyde de carbone de 82% par rapport à une conduite économe et sûre. En ville, au bout de 10.000 km, ce conducteur, exagérément tonique, dépensera de la sorte bien inutilement 1.000 euros de plus en combustible qu'un " éco-conducteur " qui lui évite les accélérations violentes, les freinages brusques et se sert de la boîte de vitesse en bas régime. La Poste a, à cet égard, pris une bien belle initiative en faisant dispenser une formation à l'éco-conduite à 10.000 facteurs répartis aux 4 coins de la France. Avec ce programme de formation de grande ampleur, la Poste, qui possède l'une des flottes d'entreprises les plus importantes de France, avec 42.000 voitures, devrait réduire de 8% ses consommations d'essence, ce qui se traduirait par une économie de plus de 5 millions de litres de carburant par an et une réduction des émissions de Co2 de quelque 10.000 tonnes ! Au menu : une multitude de trucs et de conseils pour, démarrer économiquement la voiture, pour passer les bonnes vitesses au bon moment ou encore pour entretenir son véhicule. Attention, en effet, aux pneus sous-gonflés : cela provoque une augmentation de la résistance au roulement et donc une consommation plus élevée de carburant. Un filtre à air encrassé consomme 3% de plus et un moteur mal entretenu encore plus. Les huiles hautes performances permettent des économies supplémentaires, en particulier sur les courts trajets. Ces huiles plus fluides se répartissent au démarrage plus rapidement dans le moteur que les huiles conventionnelles, ce qui réduit les frottements internes. Une somme d'astuces, de conseils qui permettrait, si on les enseignait dans les auto-écoles de façon plus précises, de réaliser bien des économies et qui nous montrerait que même la voiture qui consomme la moins, peut encore économiser du carburant !

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