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L'économie verte, future créatrice d'emplois. envoyé par ecodurable le 07/11/2008 @ 22:21


Un rapport de l’ONU qui vient de paraître montre que l’essor de l’économie verte pourrait créer des dizaines de millions d’emplois verts, c’est un bonne nouvelle en cette période disons plutôt grise...

Oui et cette évolution a déjà commencé ! L’évolution de l’emploi et de l’investisseur pour faire face au changement climatique et à ses effets ont déjà généré de nouveaux emplois dans de nombreux secteurs et économies, et ce sont des millions d’autres emplois, aussi bien dans les pays industriels que dans les Pays en voie de développement, qui devraient être créés. Imaginez, on prévoit que le marché mondial des produits et services liés à l’environnement devrait doubler d’ici 2020, il représente aujourd’hui 1.370 milliards de dollars, il devrait atteindre à cette date 2.740 milliards !

Quels sont les secteurs qui devraient s’avérer les plus porteurs ?

Loin devant l’efficacité énergétique qui devrait représenter la moitié de ce marché, la moitié restante est principalement constituée par les transports durables, l’approvisionnement en eau, l’assainissement et la gestion des déchets. Je vous donne quelques exemples pour montrer le potentiel, en Allemagne, la technologie environnementale devrait quadrupler pour atteindre 16% de la production industrielle en 2030, ce qui ferait de ce secteur le plus important devant l’automobile. Aux Etats-Unis, que l’on montre souvent du doigt dans ce domaine, c’est une déferlante qui se prépare, les technologies propres constituent déjà le 3e secteur d’investissement. Les énergies renouvelables génèrent davantage d’emplois que les énergies fossiles et devraient être source d’ici 2030 d’au moins 20 millions de postes supplémentaires. Avec la crise financière et économique, on parle beaucoup de relance, de plans de relance. L’économie verte tant pour l’avenir de la planète que pour l’emploi est peut-être bien le secteur où il convient de profiter de la crise pour donner un grand coup d’accélérateur.
C. Buchet

Préservation de l'environnement en temps de guerre envoyé par ecodurable le 07/11/2008 @ 05:52


C’est aujourd’hui la Journée Internationale pour la préservation de l’environnement en temps de guerre, une idée sympathique mais peut-être un peu naïve ?

Pas si sûr. Ce qui est certain, c’est que les conséquences environnementales d’une guerre sont à notre époque sans communes mesures avec celles des conflits d’autrefois. Imaginez qu’au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90% et pendant la guerre du Vietnam, des milliers de tonnes de substances nocives (agent orange) ont été pulvérisées, dépouillant de toute végétation des vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui. Sans oublier l’Irak rejetant des millions de litres de pétrole brut dans les voies d’eau et la marée noire au Liban suite au bombardement d’une raffinerie.

Mais concrètement, que peut-on faire ?

Il faut savoir que les instruments juridiques existent avec, la convention de 1976 qui interdit d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires, la convention sur les armes chimiques et la prohibition des mines antipersonnel (1997). Mais, ce qui fait cruellement défaut, ce sont les mécanismes pour assurer l’application de ces conventions. Il conviendrait très concrètement de renforcer le chapitre vert du droit humanitaire international. C’est ce que préconise le Secrétaire Général des Nations Unies. Et bien l’Union Européenne, la France en particulier, membre permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU, gagneraient à enfourcher ce cheval de bataille. La question des rapports Nord-Sud, les questions diplomatiques et militaires ont été les parents pauvres du Grenelle de l’environnement et il y a bien des initiatives à prendre par le Quai d’Orsay. Aucune guerre, aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour ne pas avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Une raison de plus pour nous motiver à lutter contre cette menace commune, aujourd’hui si négligée !
C.Buchet

Une banque éconologique? C'est possible! envoyé par ecodurable le 05/11/2008 @ 14:00


Trouver une banque qui respecte plus l'environnement et certains critères éthiques et sociaux et dont le seul et unique but n'est pas le "Maximal Profit" c'est possible en 2008...à condition de bien choisir! Pour vous aider, un guide gratuit vient de paraitre.

En effet; les Amis de la Terre publient la version 2008-2009 de leur guide éco-citoyen "Environnement : comment choisir ma banque ?" en partenariat avec la CLCV.

L’association a analysé les impacts environnementaux et sociaux des différentes activités des grandes banques françaises afin d’informer les citoyens de l’utilisation qui est faite de l’argent qu’ils confient à leur banque, et les pousser à modifier leurs pratiques. Le guide révèle dans son classement trois groupes de banques distincts : la Nef et le Crédit Coopératif aux impacts positifs, la Banque Postale, la Banque Populaire, la Caisse d’Epargne et le Crédit Mutuel-CIC aux risques faibles à modérés, et le Crédit Agricole, la Société Générale et BNP Paribas, qui s’avèrent les plus risquées et pour lesquelles les Amis de la Terre formulent des recommandations précises.


La réforme des ports français. envoyé par ecodurable le 04/11/2008 @ 16:47

Avec l’accord cadre qui vient d’être signé avec les partenaires sociaux, la réforme des ports va devenir opérationnelle et c’est une bonne nouvelle pour l’environnement.

Une excellente nouvelle et pour notre économie, et pour l’environnement. Il faut bien considérer que le transport maritime est le moins polluant et heureusement car c’est lui qui véhicule 80% des marchandises qui circulent sur la planète. Mais le problème c’est que le manque de compétitivité de nos ports fait qu’aujourd’hui une marchandise sur 2 à destination de la France ne transite pas par un port français mais par les ports de nos voisins ! En foi de quoi, notre réseau routier est saturé et les conteneurs pour arriver à destination doivent parcourir bien plus de km, ce qui est également coûteux en terme d’émission de CO2.

Et cette réforme va permettre d’y remédier ?


De la compétitivité retrouvée de nos ports, ce sont 6 millions de conteneurs supplémentaires qui devraient être traités d’ici 2015, ce qui va permettre d’économiser plusieurs centaines de milliers de tonnes de Co2. Imaginez, un conteneur par exemple en provenance du port d’Anvers à destination de Lyon parcourt 770 km, soit 450 km de plus que s’il provient de Marseille. Et ce n’est pas tout : l’Etat par un investissement de 174 millions d’euros s’est engagé à développer les liaisons ferroviaires et fluviales de nos ports. L’objectif étant de doubler la part des modes de transports non routier dans la desserte de nos ports d’ici 2012. Et tout cela devrait également donner, espérons le, un coup de fouet au cabotage maritime, si peu développé chez nous comparé à nos voisins et qui permettra encore de soulager nos routes et d’améliorer la qualité de l’air. Cette réforme des ports qu’à conduit Dominique Bussereau, le Secrétaire d’Etat chargé des transports, s’inscrit non seulement dans la droite ligne du Grenelle de l’environnement, elle en est l’une des pièces maîtresses.
C. Buchet

On dispose enfin d’un rapport permettant d’évaluer la prise en compte de l’environnement par les pays arabes et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a du travail… envoyé par ecodurable le 03/11/2008 @ 12:08


Les défis sont considérables et l’action bien lente, c’est ce que constate les experts arabes qui ont rédigé ce rapport. Il montre clairement que les considérations environnementales ne sont pas assez bien intégrées aux différents plans nationaux de développement. Un rapport qui nous donne des informations précises :Le coût de la dégradation environnementale, c'est-à-dire, le coût estimée des destructions de la nature atteint jusqu’à 9% du PIB dans certains pays, ce qui est considérable, avec une moyenne de 5% pour l’ensemble de la région arabe.Les émissions de Co2 par habitant ont littéralement explosé dans la plupart des pays durant les 3 dernières décennies, les pays du Golfe étant responsable à eux seuls de 50% des émissions du monde arabe avec des taux bien supérieurs à la moyenne mondiale (jusqu’à 13 fois plus au Emirats Arabes Unis). Très peu de pays surveillent encore la pollution de l’air, les quelques recherches effectuée en Egypte, au Liban ou en Syrie ont montré un taux de pollution jusqu’à 6 à 8% supérieur aux limites imposées par la loi. Et la gestion des déchets laisse tout autant à désirer puisque selon le rapport moins de 20% des 250.000 tonnes de déchets solides produits sont traitées de manières satisfaisantes et pas plus de 5% sont recyclés.

Et il n’y a pas une prise de conscience comme chez nous ? Elle commence à se faire jour, la rédaction de ce rapport par des experts arabes mandatés par leur pays est de ce point de vu porteur d’espoir, mais ils ont devoir y mettre le prix. Aujourd’hui le budget alloué à l’environnement n’atteint pas même 1% du PIB dans chacun des pays de la région. Face tout à la fois à la croissance démographique et à la diminution exponentielle des ressources en eau, il va falloir mettre les bouchées doubles, et plus l’on attend, plus cela coutera cher !

C. Buchet

Bravo aux pêcheurs de langoustines français. envoyé par ecodurable le 31/10/2008 @ 21:09


Un coup de chapeau aux pêcheurs pour leur pêche responsable, ça n’arrive pas tous les jours. Et ce coup de chapeau, c’est pour nos pêcheurs de langoustines.

Depuis 5 ans, ils ont accompli une petite révolution. A l’origine, une injonction de Bruxelles les obligeant à modifier la taille du maillage de leur filet, cela, pour préserver les stocks de merlus, capturés en même temps que les langoustines. Une mesure qui risquait de leur coûter cher. Et bien nos pêcheur ont réagi positivement, au lieu de s’arc-bouter sur un non, avec l’aide de l’Ifremer, ils ont cherché, testé à grande échelle de nouvelles techniques comme la mise en place de nouvelles grilles, de mailles carrées pour préserver les populations trop jeunes.

Grâce à cela, ce sont 25% de petits merlus qui sont épargnés (un chiffre de l’ordre de 14 millions d’individus). Ce sont 25 à 35% de petites langoustines qui sont épargnées et 30 à 40% de merlans bleus et de maquereaux car ces poissons et crustacés qui ne peuvent pas être vendus en dessous d’une certaine taille sont rejetés à la mer, mais il faut le savoir, ils ne survivent pas dans leur quasi-totalité. Trier au fond plutôt que sur le pont c’est donc infiniment plus responsable.Ce n’est pas tout, la profession a contingenté le nombre de bateaux pratiquant la pêche à la langoustine à 250 pour préserver la ressource et en 2006 elle a encore pris l’initiative d’augmenter la taille minimale de 2cm pour que les langoustines pêchées sur les côtes françaises puissent être vendus. Elles doivent avoir 9 cm…alors que la norme minimale européenne est de 7cm.

C’est pas un peu suicidaire ?

Et non ! Car grâce à cette politique responsable, durable en un mot : intelligente, la ressource repart à la hausse ! Depuis 2 ans les quotas autorisés pour la pêche à la langoustine augmentent. Et en plus nous sommes tous gagnants car nos langoustines pêchées en France avec leur 9 cm minimum sont gustativement supérieurs à celle plus petite venant des autres pays. Lisez bien les origines de provenance en faisant vos courses ou amenez votre décimètre et vous ne serez pas déçus !
C. Buchet

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