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L'importance du saturnisme, intoxication au plomb, en France. envoyé par ecodurable le 19/12/2008 @ 05:49



L’intoxication au plomb, le saturnisme, continue de frapper des milliers d’enfants en France et des millions d’enfants de par le monde. Vous réclamez une amplification des dépistages.

Oui car il s’agit d’une véritable épidémie silencieuse. En France, pas moins de 85.000 enfants de 1 à 6 ans sont touchés par le saturnisme, cette contamination au plomb, par le biais notamment des vieilles peintures.Bien des mesures ont déjà été prises en France avec notamment la loi de 1998 contre l’exclusion qui impose un diagnostic plomb à chaque vente d’appartement. L’institut national de veille sanitaire a également renforcé son dépistage, mais il faut aller beaucoup plus loin. Grâce à des tournées de bénévoles de médecins du monde, on constate à certains endroits une nette hausse des cas dépistés. C’est le cas notamment dans les Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, où il y a encore officiellement plus de 20.000 logements indignes.

Pourquoi les enfants de moins de 6 ans sont-ils particulièrement affectés ?

L’enfant porte spontanément les mains et les objets à la bouche et ingère plus de particules ou d’écailles de plomb. Près de 50% du plomb ingéré passe dans le sang de l’enfant, contre 10% chez l’adulte. L’absorption du plomb chez l’enfant atteint le système nerveux et provoque notamment des troubles psychomoteurs, des retards intellectuels. Et il faut savoir qu’une fillette intoxiquée aujourd’hui transmettra demain la maladie à ses enfants (le plomb stocké dans les os de la mère sera relargué dans le sang et contaminera le fœtus). Une maladie d’autant plus dangereuse qu’elle est difficile à diagnostiquer. Si vous pensez vivre dans un habitat à risque, surtout demandez une expertise à la Direction départementales des affaires sanitaires et sociales. Elle est gratuite ! il en va de la santé de vos enfants ou de vos futurs enfants !
C. Buchet

Le développement durable, c’est aussi le commerce équitable. Un commerce équitable que soutiennent par leurs achats de plus en plus de Français. envoyé par ecodurable le 17/12/2008 @ 21:43


Le développement durable, c’est aussi le commerce équitable. Un commerce équitable que soutiennent par leurs achats de plus en plus de Français. Jusqu’il y a encore peu, c’est vrai que ce n’était pas facile de trouver des produits équitables : ils étaient confinés dans des boutiques spécialisées, peu accessibles.

Rappelons que le commerce équitable c’est acheter des produits venant de l’hémisphère sud comme notamment le café, le thé, le coton et bien d’autres au juste prix. Juste : parce qu’il permet à l’agriculture et à sa famille de manger correctement de produire durablement.

Juste prix…cela veut dire acheter plus chère la matière première, mais attention, cela reste très raisonnable (à titre d’exemple, sur le prix d’un paquet de café, ce coût représente environ 15 cts d’euros).

Un juste prix qui vise aussi à améliorer les conditions de production pour qu’elles soient plus respectueuses de l’environnement tout en étant économiquement plus rentable. Depuis que nous pouvons trouver ces produits équitables dans les grandes surfaces, nous en achetons de plus en plus.

A quoi peut-on reconnaître les produits du commerce équitable ? Au label notamment Max Havelaar (une certification qui concerne 80% des produits du commerce équitable vendus en France). Un label fondé en 1988 par un prêtre hollandais. Un label qui n’est ni une marque, ni une entreprise privée, mais une ONG internationale qui garantit le respect des règles de l’équitable.

Nos achats en France ont déjà eu un impact direct pour 152 organisations de producteurs répartis dans 44 pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie…et qui a déjà permis à plus de 250.000 personnes de bénéficier d’un développement plus durable. Une belle initiative qui est de plus un formidable outil pédagogique.

Pour en savoir plus :

Commerce équitable, 20 réponses pour agir.Joaquin Munoz / Editions Michal g
C. Buchet

L'avenir de la mer d'Aral. envoyé par ecodurable le 16/12/2008 @ 21:05


Jeudi se tient à Paris à l’initiative de l’Ambassade du Kazakhstan, une conférence sur l’avenir de la mer d’Aral. Une mer qui reprend vie...

On connaît le désastre subi par cette mer intérieure lorsque les autorités soviétiques au début des années 60 ont sciemment condamné ce lac en détournant les eaux de 2 fleuves l’Amou-Daria en Ouzbékistan et le Syr-Daria au Kazakhstan. Tout cela afin d’inaugurer les sols arides des steppes avoisinantes pour développer la culture du coton.On connaît le triste résultat, le plus grand lac du monde qui couvrait 66.000 km² en 63 ne s’étend plus que sur 16.000 km² en 2 bassins. On a tous au fond de nos rétines ces navires échoués, loin de toute eau en plein désert. Un désert de sel et d’engrais chimiques déversés par l’industrie du coton. Un mélange qui, charrié par les vents, a entraîné une explosion des maladies respiratoires et un effondrement de l’espérance de vie.
Et cela s’arrange ?

Oui, depuis l’achèvement d’une digue de 13km en 2005, les eaux de la petite mer d’Aral séparée depuis une vingtaine d’années de la grande a vu sa surface augmenter de 50% et l’écosystème regagner un peu de sa superbe. 17 des 30 espèces de poissons de l’Aral y vivent de nouveau car avec la montée des eaux, la salinité baisse, permettant la réapparition des espèces. Le littoral qui avait reculé de 120km n’est désormais plus qu’à 12 km du port d’Aralsk. Et les nouveaux travaux qui vont être lancés en 2009, Aralsk redeviendra bientôt un port et à Dshambul, les chameaux laissent place à l’eau.

Et ce qui concerne la grande mer d’Aral ?

Il y aurait trop à faire, cette "grande mer" devrait voir son recul continuer pour se séparer à terme en plusieurs lacs salés, sans vie. Mais avec la renaissance de la "petite mer d’Aral", l’essentiel aura été sauvé !
C. Buchet

Un moyen de transport pratique et totalement non polluant : le vélo à assistance électrique… envoyé par ecodurable le 15/12/2008 @ 20:34


Véritable institution aux Pays-Bas, où l’on en a vendu près de 25.000 en 2007, le vélo à assistance électrique est comme son nom l’indique, un simple vélo équipé d’une batterie rechargeable en 3 ou 4 heures sur une prise secteur et qui permet d’assurer au cycliste une vitesse constante pouvant atteindre 25 km/h…Un vrai plus lorsque l’on manque d’entrainement ! Le moteur ne fonctionne que si l’on pédale et s’arrête lorsque l’on atteint les 25 km/h. L’autonomie est calculée pour parcourir une trentaine de km, ils peuvent être utilisés sur les pistes cyclables et le port du casque n’est pas obligatoire bien que recommandé…

Un coup de cœur pour le Solex du 21e siècle. Bien plus qu’un vélo à assistance électrique, il s’agit du bon vieux Solex relooké par Pininfarina, le designer italien. Le "E-Solex" est équipé d’un moteur électrique rechargeable en 4 heures, pas besoin de pédaler, il avance par simple accélération, atteint la vitesse de 35 km/H et dispose d’une autonomie d’environ une heure et demi soit entre 25 et 40 km. Confortable, écolo, pratique, un vrai petit bijou au look original, il ne rejette aucun Co2 et permet d’allier fonctionnalité, plaisir du deux roues, et nostalgie du mythique vélo à moteur lancé en 1905…

Adoption du paquet Erika3. envoyé par ecodurable le 12/12/2008 @ 21:37


Voilà 9 ans, jour pour jour, que le pétrolier Erika a provoqué la marée noire que l’on sait. 9 ans après est-ce que tout va pour le mieux dans le monde du Transport maritime ?

Il y a en tout cas, une excellente nouvelle qui vient de tomber. Ça y est, enfin, les ministres européens des transports et le parlement européens sont parvenus à un accord sur un 3e paquet de mesures visant à renforcer la sécurité maritime : le paquet Erika 3. Voilà plus de 3 ans que ça coinçait sur 2 points essentiels, cela ne vous surprendra pas, à savoir la responsabilité des Etats et des Armateurs.Deux groupes de pays bloquaient les mesures : d’un coté des Etats très sérieux au plan de la sécurité maritime comme l’Allemagne ou le Royaume-Uni parce qu’ils étaient réticents pour redouter de voir transférer à l’Europe une partie de leurs prérogatives. De l’autre, certains Etats qui ne brillent pas encore au plan d’une parfaite conformité avec ce que l’on est en droit d’attendre de pays membres de l’UE. Un pays de l’UE, figure encore dans la catégorie des navires les plus à risques, c’est la Slovénie.

En quoi le 3e paquet de mesures va-t-il contribuer à améliorer la sécurité ?

Sur 7 aspects, 2 me semblent plus particulièrement importants : dorénavant, les navires voulant rentrer dans les eaux européennes devront avoir souscrits une assurance couvrant les dommages pouvant être causés. Les assureurs n’étant pas des irresponsables, ils regarderont de près l’état du navire avant de l’assurer. La seconde mesure, la plus importante peut-être, c’est la responsabilité des Etats qui se trouve clairement affirmée. On entend souvent dire "il faut supprimer les pavillons de complaisance", c’est vite dit. On ne peut pas empêcher un Etat d’avoir le droit de faire voguer sous son pavillon des navires. En engageant la responsabilité des Etats on les force ainsi à ne plus fermer les yeux sur des pratiques douteuses. Un grand coup de chapeau à la présidence française de l’Union européenne et en particulier à Dominique Bussereau, le secrétaire d’Etat aux Transport d’avoir réussi à sortir de l’armoire le paquet qui était en rade depuis 3 années !
C. Buchet

Journée internationale de la montagne. envoyé par ecodurable le 11/12/2008 @ 21:31


C’est la journée Internationale de la montagne, une journée voulue par l’ONU pour nous rappeler que la montagne a un rôle essentiel dans le fonctionnement du climat mondial, une bonne raison de plus pour en prendre soin.

Que la montagne est belle... et utile ! Elle force l’air à monter, augmentant ainsi la quantité de pluie et de neige sur son versant exposé au vent et crée, du côté protégé du vent, des zones plus arides que l’on appelle joliment "ombres de pluie". Sans les hauts sommets de l’Himalaya, pour intercepter les masses d’air en provenance du sud par exemple, il n’y aurait pas de mousson. L’eau qui tombe sous forme de pluie dans les montagnes, ou qui est stockée sous forme de neige qui fond au printemps et en été, est une ressource vitale pour plus de la moitié de la population mondiale.

Le réchauffement climatique ne va-t-il pas bouleverser tout cela ?

Il risque de provoquer un sérieux problème d’eau à moyen terme. Au cours du XXe siècle, les glaces du Mont Kenya ont perdu 92% de leur masse, le Kilimandjaro 82% et l’ensemble des monts du Caucase et du massif alpin 50% ! La fonte des glaciers entraîne aujourd’hui un surplus d’eau, bien utile aussi bien pour les montagnards que pour les habitants des plaines. Mais à mesure que les glaciers disparaissent et que la neige recule en altitude, les débits des cours d’eau vont décroitre de plus en plus alors que sous l’effet de la démographie galopante, nous aurons de plus en plus besoin d’eau ! Il faut prendre soin de nos montagnes en nous efforçant d’émettre le moins de gaz à effet de serre. Et il y a un bon moyen si nous aimons la montagne au point d’y aller, c’est de prendre les transports en commun pour nous y rendre. Cela a l’air de rien, ce n’est pas difficile et pourtant il faut savoir, comme vient de le montrer une étude, que plus de 78% des émissions de gaz à effets de serre liées à l’activité des stations sont dues à nos modes de transports pour nous y rendre ! Un bon moyen de rendre durable, pour tous ceux qui vont avoir bientôt la chance de s’y rendre, les vacances à la montagne.
C. Buchet

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