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L'emballage se met au vert envoyé par ecodurable.fr le 17/11/2008 @ 20:28


Synonyme de pollution pour certains, de superflu pour d'autres, le monde de l'emballage tente de se refaire une beauté en démontrant qu'il peut être écologique.

Ce secteur-clé de l'économie mondiale tient salon jusqu'à vendredi à Villepinte, le Parc des expositions du nord de Paris. Ce rendez-vous international, nommé "Pack the World", rassemble plus de 2000 exposants qui présente leurs innovations en terme de design, d'écologie, de développement durable. En France, le secteur a dégagé un chiffre d'affaires de 22,7 milliards d'euros et fait travailler plus de 97.000 personnes.

L'appel de Jacques Chirac pour sauver le Jourdain envoyé par ECODURABLE.fr le 16/11/2008 @ 10:09


L'ancien président français a appelé l'Union pour la Méditerranée à prendre une "grande initiative" en faveur d'une meilleure gestion des eaux du Jourdain.
Jacques Chirac a attiré l'attention de l'Union pour la Méditerranée sur la question de la gestion des eaux du Jourdain. L'ancien président français a émis le souhait de voir l'organisation internationale prendre à ce sujet une "grande initiative".
"Quand un fleuve est partagé, il ne peut y avoir un seul maître", a lancé Jacques Chirac lors d'une conférence sur "l'eau pour la paix, la paix pour l'eau", organisée jeudi 13 novembre à Paris par sa fondation pour le développement durable et le dialogue des cultures, l'Unesco et l'Agence française de développement.
"C'est ce que l'Inde et le Pakistan ont bien compris en maintenant une gestion commune de l'Indus, au plus fort des hostilités. C'est ce que nous devons arriver à faire pour le Jourdain, fleuve à la portée symbolique et culturelle qui intéresse toutes les populations de la région", a-t-il estimé.

Sauver le Jourdain

"Je suggèrerais volontiers aux chefs d'Etat, réunis dans l'Union Pour la Méditerranée, de consacrer l'une de leurs prochaines réunions à ce sujet névralgique. Une grande initiative pour sauver le Jourdain ferait honneur à ce magnifique projet", a ajouté l'ancien président.
Jacques Chirac s'exprimait notamment en présence du Premier ministre palestinien, Salam Fayyad, qu'il devait à nouveau rencontrer en fin d'après-midi.
Une conférence euro-méditerranéenne sur l'eau, reportée le mois dernier en raison d'un différend entre la Ligue arabe et Israël, devrait avoir lieu en décembre en Jordanie, avait indiqué mercredi un haut responsable jordanien.
Son objectif est de fixer les lignes directrices d'une "stratégie de long terme" pour l'eau en Méditerranée et de déterminer des premiers projets concrets dans ce secteur.
Soulignant que "les Objectifs du Millénaire (de développement de l'Onu, ndlr) en matière d'accès à l'eau, pourtant limités dans leur ambition, sont en grand danger de ne pas être respectés," M. Chirac a par ailleurs estimé que "la crise économique et financière que nous traversons (...) ne doit pas nous détourner des efforts à accomplir dans l'urgence pour assurer le droit universel à l'eau". (AFP)

Le chauffage au bois. envoyé par ecodurable.fr le 14/11/2008 @ 21:44


Le bois, ça chauffe bien, c’est moins cher et c’est écolo

Oui parce que le chauffage au bois ne contribue pas au réchauffement de la planète puisque le CO2 libéré lors de la combustion correspond au Co2 absorbé lors de la croissance de l’arbre. C’est le seul combustible totalement renouvelable et neutre quant à l’effet de serre. Et nous avons du bois à profusion, la forêt française représente la 3e surface forestière d’Europe après la Suède et la Finlande. Elle couvre 28% de notre territoire. Une superficie qui correspond à peu près à la forêt que nous avions au Moyen Age !

Est-ce que nous avons pour autant davantage recours au bois pour nous chauffer que nos voisins ?

La consommation ramenée par tête d’habitant nous place seulement en 9e position, c’est dire que nous avons une marge considérable de progression. On pourrait sans difficulté, bien au contraire, multiplier par 4 notre consommation de bois. Le bois pour se chauffer, c’est écologique, c’est pratique, car fini (sauf si vous le voulez bien) la bûche que l’on retourne régulièrement et qui demande une attention de tous les instants, les nouvelles chaudières à bois sont alimentées automatiquement par des granulés ultraperformants. Et puis le chauffage au bois, c’est beaucoup moins coûteux, on peut économiser quelque 30% comparé au chauffage au gaz et près de 50% comparé au chauffage au fuel. Et si vous envisagez d’acquérir une chaudière à bois, ne tardez pas, le crédit d’impôt qui est de 50% sera abaissé à 40 à partir du 1er janvier (1,7 millions de ménages ont déjà adopté ce mode de chauffage).
C. Buchet

Etat des lieux du déballastage au large des côtes françaises. envoyé par ecodurable.fr le 13/11/2008 @ 22:06


Un nouveau navire la Valentia a été dérouté hier à Brest pour soupçon de dégazage on a trouvé une pollution dans son sillage de 18km de long sur 50m de large à 280km à l’Ouest des côtes bordelaises, on a l’impression que les mauvaises habitudes continuent...


Plutôt que de voir le verre à moitié vide, c’est le verre à moitié plein qu’il nous faut regarder. La France, depuis 4 ans, est en pointe dans le combat contre le déballastage. D’abord la loi Perben 2 en augmentant le plafond de l’amande de 600.000 à 1 millions d’euros est financièrement dissuasive, le fait ensuite que 3 tribunaux en France gèrent maintenant ces dossiers (Brest, Marseille, le Havre) ont permis aux magistrats de se spécialiser et d’être ultra compétents. 2 autres éléments sont de nature également à ce que nous gagnions le combat contre ce type de pollution. Le déroutement d’abord (on oblige maintenant le navire pris en flagrant délit à relâcher dans le port le plus proche, cela coûte cher à l’armateur, l’immobilisation d’un navire revient à pas moins de 40 à 50.000 euros par jour).
La caution ensuite a un effet immédiat, avant même le jugement, ce qui est très dissuasif là encore ! Le procureur de Brest Xavier Tarabeux vient ainsi de réclamer pas moins de 300.000 euros pour que ce cargo libérien puisse reprendre la mer. Cette législation sévère porte ses fruits. On constate au fil des années de moins en moins de "pollutions orphelines" comme l’on dit pudiquement. Mais ne nous réjouissons pas trop vite ! on observe beaucoup plus de rejets au large de l’Espagne, de l’Italie, ce qui montre la nécessité que nos voisins (italiens, espagnols, britanniques) adoptent les mêmes pratiques.
C’est une législation commune à l’ensemble de l’UE qu’il nous faut mettre en place, sinon on polluera un peu moins là, un peu plus ici, mais notre bien commun la mer continuera toujours à subir les assauts destructeurs de la pollution.

Les solutions pour nourrir tous les habitants de la planète à l'horizon de 2030. envoyé par ecodurable.fr le 12/11/2008 @ 19:59


Sera-t-il possible de nourrir tous les habitants de la planète à l’horizon 2030, 2050 ? C’est à cette question que vont essayer de répondre des experts réunis à Paris, à l’initiative de l’Agence Française de développement.

S’il y a une question essentielle, c’est bien celle là. Déjà aujourd’hui ce sont dans le monde 862 millions de personnes qui souffrent chroniquement de la faim, 6 millions d’enfants en meurent chaque année et 2 milliards d’individus sont atteints par une insuffisance nutritionnelle grave, pour l’essentiel en Afrique et en Asie. Face à la croissance démographique, nous serons 8 milliards dans 17 ans en 2025 et 9 milliards en 2050 ; les experts considèrent qu’il nous faut multiplier par 2 la production agricole mondiale. Et c’est possible ? Oui, mais à condition d’investir, d’investir massivement dans l’agriculture. La situation actuelle avec la tension sur les prix agricoles que nous constatons dans le monde résulte dans une large mesure de ce que les investissements agricoles se sont littéralement effondrés au cours des 30 dernières années. C’est 15 à 20 milliards de $ qu’il convient de dégager par an pour lancer, selon le Secrétaire Général des Nations Unies, une nouvelle révolution agricole. C’est beaucoup, et bien peu au regard des sommes qui ont été engagées pour soutenir les institutions financières. Et puis il faudra peut-être revoir certains usages alimentaires, ne pas consommer trop de viande.
Imaginez comme le montre Michel Barnier dans son ouvrage passionnant qu’il vient de publier avec justement pour titre "Qui va nourrir le monde ?" entre 2000 et 2030 pour satisfaire l’augmentation de la demande de viande, il faudrait que la production mondiale de viande s’accroisse de 85 %. Or les élevages sont très coûteux en terre, en eau, en énergie et en céréales : il faut 3 à 15 fois plus de surface pour produire la même quantité de protéines animales que de protéines végétales et il faut de 3 à 10 calories végétales pour produire une calorie animale. C’est peu dire que le 21e siècle a besoin d’une nouvelle révolution agricole.
C. Buchet

La raréfaction du sable. envoyé par ecodurable.fr le 10/11/2008 @ 09:32


Vous nous parlez ce matin d’une ressource à laquelle on commence à avoir de plus en plus recours, les granulats marins.

On appelle granulats les matériaux qui se présentent sous forme de grains dont la taille est comprise entre 0 et 125 mm, c’est le sable en 1 mot qu’utilisent massivement les entreprises du bâtiment et des travaux publics. Après l’eau, les granulats sont en France, la substance la plus consommée (on en utilise 7 tonnes par an en moyenne par habitant). Ces matériaux sont encore issus pour l’essentiel des carrières terrestres. Seulement voilà, cette substance si répandue se raréfie, plus exactement les ressources accessibles dans des conditions acceptables aux plans de l’économie et de l’environnement, si bien que les industriels du BTP se tournent de plus en plus vers les granulats marins.

On imagine que cela ne va pas sans poser de graves problèmes environnementaux. ?

Oui parce que leur extraction augmente fortement la turbidité (le brassage des eaux), ce qui réduit notamment la pénétration de la lumière et la photosynthèse. Cela aboutit également à la redéposition de particules fines qui peuvent recouvrir le fond et causer la disparition des espèces qui y vivent. Il convient d’être prudent, l’on ne pourra à l’évidence se dispenser d’avoir recours aux granulats marins, mais il est important comme le prévoit le Grenelle de l’environnement que l’Etat encadre strictement l’extraction de cette ressource et ne délivre des permis d’exploitation que là où les impacts sont les plus faibles, c'est-à-dire au large et interdire toute extraction sur l’estuaire (sur ces sables que les marées découvrent). Dans ce domaine, comme dans beaucoup d’autres, la mer peut nous fournir bien des ressources, mais pour que cela puisse être durable, il nous faut agir avec discernement.
C. Buchet

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