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Un poisson sur trois menacé envoyé par ECODURABLE.fr le 29/09/2010 @ 05:31

Depuis les années 1950, 7% des espèces marines ont disparu des mers et des océans.
Les experts indiquent qu'une espèce de poisson d'eau-douce sur deux est en voie d'extinction et qu'en tout un poisson sur trois est menacé. La quantité totale de poissons péchés a baissé de 5% depuis 2000 en raison de la diminution significative des réserves aquatiques. Voici une liste des principaux poissons en voie de disparition.

Comment prendre en compte la forêt dans la compensation carbone ? envoyé par ECODURABLE.fr le 29/09/2010 @ 05:29

Si des mécanismes ont été prévus dans le Protocole de Kyoto pour les pays en développement, rien n'existe pour valoriser le carbone séquestré par les forêts dans les pays industrialisés, ni les produits issus des filières bois. C'est pour combler ces lacunes que le « Club Carbone Forêt-Bois » vient d'être lancé, avec pour objectif de faire entrer ces filières dans l'économie du carbone.

« Alors que la forêt constitue un puits de carbone particulièrement intéressant, elle est exclue des mécanismes issus du Protocole de Kyoto applicables au pays industrialisés », explique en préambule Benoît Leguet, directeur de CDC Climat recherche, et initiateur du Club Carbone Forêt-Bois.* En effet, rien ne permet aujourd’hui de valoriser les émissions de CO2 séquestrées par la forêt dans l’hexagone comme dans les autres pays industrialisés, et de « récompenser » la gestion durable des filières qui l’exploitent. Les Mécanismes de mise en œuvre conjointe (MOC) issus de Kyoto et applicables aux pays industrialisés ne prennent pas en compte les projets forestiers, contrairement aux Mécanismes de développement propre (MDP) relatifs à la reforestation et à la lutte contre la déforestation, qui permettent la génération de crédits carbone. Par ailleurs, les mécanismes de déforestation évitée (REDD - réduction des émissions provenant de la déforestation et de la dégradation des forets dans les pays en développement) actés à Copenhague et destinés aux pays en développement vont également permettre de valoriser, via les crédits carbone, des projets de gestion durable des forêts. Pour autant, ces initiatives, très complexes à mettre en œuvre, existent en nombre infime, alors que des centaines de milliers d’hectares devraient être « reforestés » chaque année pour lutter contre les changements climatiques.

Rémunérer les services rendus par la forêt

De fait, seuls les programmes de compensation volontaire représentent aujourd’hui un vrai marché de la forêt - 20% sont en effet consacrés à des programmes de conservation de la foret-. Ils permettent aux entreprises non soumises au marché de carbone, mais qui veulent afficher une stratégie dans ce domaine, de compenser leurs émissions « restantes », après avoir déjà réduit toutes celles qu’elles pouvaient. Le volume de la compensation volontaire est encore faible -50 000 tonnes par an en France-, mais pourrait se développer grâce à cette nouvelle offre. « Il existe une vraie demande des collectivités locales et des entreprises pour mettre en place, localement, de tels projets. Or, en l’état actuel des choses, c’est impossible », souligne Benoît Leguet. Jean-Yves Henry, président de l’AFSSOR (Association des sociétés et Groupements Fonciers et Forestiers), qui représente les gestionnaires privés, estime également que le marché doit rémunérer les services climatiques rendus par la forêt, obtenus notamment grâce à une gestion durable des acteurs. « Les professionnels sont engagés aujourd’hui dans cette politique, il est normal que ces services soient rémunérés par des actifs carbone. C’est également un moyen d’assurer la pérennité de la ressource forestière », ajoute-t-il.

Alors que chaque acteur (ONF, organismes professionnels concernés, administration et entreprises) travaille séparément sur ces questions depuis Kyoto, le Club Carbone doit permettre de mutualiser les compétences pour faire progresser le débat et expérimenter cette valorisation économique. Mais pour cela, il faudra au préalable définir un référentiel qui permettra d’évaluer la séquestration et d’attribuer une certification aux crédits carbone sur le marché. En effet, toutes les forêts ne se valent pas en la matière, certaines essences étant plus efficaces que d’autres pour absorber le CO2… De nombreuses questions techniques et méthodologiques doivent donc être résolues. Au premier chef, évaluer le potentiel de séquestration des projets selon leur nature (conversion à certaines essences, reboisement, reconversion de terres agricoles en forêt, etc) ainsi que la quantité de crédits carbone générés.

* Le Club carbone-Forêt-Bois a été fondé à l’initiative de CDC Climat Recherche, de l’ONF, de la Forêt Privée Française, de la Société forestière de la Caisse des Dépôts, de l’ASFFOR, de l’Institut technologique d la forêt, Cellulose, Bois-Construction et Ameublement, et du Syndicat des Sylviculteurs de Sud Ouest.

Un peu de fromage dans vos batteries envoyé par ECODURABLE.fr le 29/09/2010 @ 05:25

Des chercheurs grecs proposent d’utiliser du petit-lait, déchet de l’industrie fromagère, pour alimenter des piles à combustible.
Dans la quête aux nouvelles sources d'énergie, les chercheurs ont réussi à fabriquer des piles à combustible qui carburent au fromage, enfin plus exactement au petit-lait. Idée saugrenue ? Loin de là. Ce résidu de la fabrication du fromage est très riche en lactose, un sucre, et il est possible de créer des piles contenant des cultures microbiennes qui consomment ce sucre et produisent de l'électricité, explique Georgia Antonoupolou, spécialiste en ingénierie biochimique de l'université de Patras, en Grèce.

Le contenu organique du petit-lait est nuisible pour l'environnement et nombre de gouvernements imposent aux usines de le retraiter à leurs frais avant de le jeter. Mais ce résidu peut représenter jusqu'à 70 % du volume du lait utilisé dans la fabrication de certains fromages. Une petite usine de feta, par exemple, devra jeter jusqu'à 4 000 tonnes de petit-lait par an, explique le Dr Antonopoulou. Les biopiles à combustible pourraient permettre de régler ce problème des déchets non seulement dans le secteur du fromage mais aussi dans ceux de la brasserie, de l'élevage porcin, des usines de transformation des aliments et même des égouts. Dans les piles à combustible traditionnelles, on utilise un matériau catalytique qui oxyde un combustible, l'hydrogène par exemple, ce qui fait passer un courant électrique entre deux électrodes. Les biopiles à combustible fonctionnent selon le même principe, sauf que les réactions catalytiques sont effectuées par des bactéries qui, en l'absence d'oxygène, métabolisent le combustible et déclenchent des réactions chimiques qui produisent de l'électricité.

En théorie, les biopiles à combustible peuvent fonctionner avec pratiquement n'importe quel type de matière organique, déclare Chris Melhuish, le directeur du Bristol Robotics Laboratory, au Royaume-Uni. Cependant, les piles à combustible marchent mieux avec un carburant raffiné - une solution contenant du glucose synthétique, par exemple - qu'avec un matériau brut. Le Dr Antonopoulou vient cependant de démontrer qu'une culture microbienne provenant d'une centrale de traitement des eaux usées permet d'obtenir quasiment autant d'électricité à partir de petit-lait brut qu'à partir de combustible raffiné, à condition que le premier soit dilué. Cependant, la production d'électricité d'une telle pile n'est pour l'instant que de quelques milliwatts, à peine assez pour charger un téléphone portable. Les chercheurs tentent désormais de mettre au point un nouveau système susceptible d'améliorer la productivité de la pile, en augmentant la surface des électrodes. Le manque d'investissements dans le domaine demeure toutefois un gros problème. Mais si on parvient à surmonter les divers obstacles auxquels se heurte cette technique et à passer à une production industrielle, celle-ci ne pourra que s'affiner - un peu comme un bon fromage.

Le Mondial de l’Auto ouvre grand son habitacle à l’écologie envoyé par ECODURABLE le 18/09/2010 @ 05:27

Quelle sera la spécificité du Mondial de l’Auto 2010 de Paris ? Un hall entier consacré aux innovations green. Vous n’avez plus qu’une chose à faire : noter cet événement incontournable du mois d’octobre prochain dans votre agenda, afin de découvrir le coffre aux trésors écolos.

samedi 2 octobre au dimanche 17 octobre 2010 s’ouvrira le Mondial de l’Auto à Paris. L’occasion pour des millions de visiteurs de découvrir les plus belles voitures, les nouveautés, les concept-car…bref 180 000 m2 d’exposition consacrée aux moteurs et aux carrosseries.

2010, l’auto écolo

« Le pavillon des nouvelles énergies » sera la nouveauté de ce mondial de automobile 2010 ! Vous pourrez y découvrir toutes les alternatives green à la voiture traditionnelle, avec des véhicules fonctionnant aux biocarburants, à l'hybride, à l'hydrogène, à l'électrique,etc. En plus des fournisseurs d'énergie et des équipementiers, les visiteurs du mondial de l’auto pourront aller à la rencontre des fabricants de mobilier urbain et d'infrastructures, des collectivités territoriales et des organismes engagés dans le développement durable.

« Le futur, maintenant » est le slogan de ce Mondial de l'Auto 2010. Un futur résolument green...

« zéro énergie » pour l’école écolo Saint-Exupéry envoyé par ECODURABLE le 15/09/2010 @ 22:51


Les éco-liers du groupe scolaire Saint-Exupéry à Pantin (Seine-Saint-Denis) viennent de vivre une vraie rentrée écolo ! Nom poétique pour cette nouvelle école « zéro énergie », construction HQE : découvrez l'école Saint Exupéry pour petits Princes écolos…

300 enfants de Pantin (en Seine-Saint-Denis) - soit cinq classes de maternelles et six classes élémentaires – ont réalisé leurs rentrées dans une école « zéro énergie » ! Des petits Princes écolos qui disposent des meilleures conditions pour étudier. ..

Un pari ambitieux pour l’avenir


La ville de Pantin s'est lancée dans un projet écologique ambitieux, au bénéfice de ses petits : une école « zéro énergie » suivant la démarche HQE (Haute Qualité Environnementale) ! Cinq classes maternelles et six classes élémentaires intègrent le 3ème établissement de ce type en France. Les enfants bénéficieront aussi d'un centre de loisirs « le Petit Prince » ainsi qu’un restaurant scolaire.

De l’éco-construction à l’éco-le

Les bâtiments de l’école répondent aux objectifs traditionnels de qualité environnementale tout en limitant leur consommation énergétique et en produisant de l'énergie sur place. L’hiver, le chauffage est assuré par une pompe à chaleur eau, eau reliée à un champs de 15 sondes géothermiques situées à 70 m de profondeur réparties au sud des bâtiments. Il est couplé à la mise en place d’une ventilation hivernale double flux avec récupération de chaleur. Les besoins en énergie sont couverts par l’installation de 1168 m2 de capteurs photovoltaïques intégrés aux toitures des trois bâtiments, exposés au sud. Ces panneaux produisent ainsi l’amorçage du projet sur un système photovoltaïque intégré à l’architecture et qui joue également le rôle d’étanchéité. La mise en place de 12 m2 de panneaux solaires thermiques permet également de satisfaire 50% des besoins en eau chaude sanitaire du restaurant scolaire et de l’office.

A la récré, on jardinera ?

L’aménagement des espaces extérieurs s’est voulu cohérent avec l’environnement du site atypique afin de conserver toute sa diversité écologique. L’équipe de paysagistes a imaginé 5 jardins dont l’aménagement est accompagné de l’installation de dispositifs de récupération des eaux pluviales : ouvrage de rétention souterrain et à ciel ouvert, pavés à joints enherbés ou encore noues plantées. La récupération des eaux pluviales doit permettre de couvrir près de 40% des besoins en eau (arrosage, nettoyage des espaces extérieurs).

L’école Saint-Exupéry aura coûté 14 millions d’euros – soit 25% de plus qu’une école classique. Mais « c'est véritablement utile puisque c'est joli »…et écolo !

la New Beetle BioBug ... roule aux excréments envoyé par ECODURABLE le 06/09/2010 @ 05:06

Nouvelle révolution écologique dans le domaine de l’automobile ! Une entreprise anglaise a imaginé un nouveau concept car…roulant avec l’énergie fournie par les excréments humains. Mais au fond, cette new Beetle biobug n’est-elle pas un peu de la merde ?
Pourquoi ne pas utiliser, comme gaz naturel pour les véhicules, une ressource en énergie aussi facile à trouver que le méthane issu des matières fécales humaines ? Idée bien insolite des chercheurs de GENeco (une société anglaise spécialisées dans les déchets organiques) pour trouver une alternative à l’essence, aux biocarburants, à l'hybride , à l'hydrogène et à l'électrique !

Ne manquait plus que le choix de la voiture. La Volkswagen New Beetle s’imposait…car les coléoptères (Beetles en anglais) ont la petite manie de réutiliser leurs excréments .

Sur le papier, l’idée est opérationnelle ! L’idée du gaz naturel pour les véhicules n’est pas nouvelle. Il ne faut donc pas d’équipement particulier dans cette New Beetle Biobug démarrant à l’essence et passant au méthane une fois la température de chauffe atteinte. Par contre, ne serait-ce que pour une voiture, pas moins de 70 foyers sont nécessaires sur un an. Un peu limité si on veut étendre l’idée à un véhicule/un habitant ! L’autre point négatif…l'impact écologique de ce nouveau carburant. Avant combustion, le méthane n’est pas aussi écolo qu’il n’en a l’air !Il pue ce concept ?

Le méthane, c’est écolo, disons naturel. Mais ce n’est pas ce que l'on peut espérer de mieux pour la planète si on le produit exprès massivement ! Déjà que l’on en veut aux vaches de provoquer le réchauffement climatique (ha bon, et nous alors ?), il ne faut peut être pas abuser ! Le méthane est considéré comme le troisième gaz responsable des modifications du climat : on va peut-être attendre une source qui pue moins pour la planète …sachant qu'il existe déjà des concepts avec du méthane provenant de stations d'épurations, de déchets ou de la digestion des ruminants.

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