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Toilettes à Litière Biomaîtrisée (TLB) : des WC pour la planète ? envoyé par ECODURABLE.fr le 30/05/2010 @ 21:36

Pourquoi passer aux toilettes à litières biomaîtrisées TLB, un des avatars des toilettes sèches? Économes en eau, permettant la valorisation de nos déchets, elles nous proposent aussi de revoir la place de l’homme dans la nature. Une vraie contribution pour la planète?
Vous n’êtes pas une grande entreprise mais souhaitez œuvrer pour la planète ? Vous pouvez faire un don à une ONG, acheter bio et local, porter de l’équitable, mais vous pouvez aussi changer votre manière d’aller aux toilettes. Pour aider la planète au quotidien, passez aux toilettes sèches, et plus particulièrement aux toilettes à litière biomaîtrisée ou TLB, une forme de toilettes sèches écologique, très économe en eau… et en devises.

J’économise l’eau avec ma TLB !

Chaque année se vident un peu plus les réserves d’eau douce de la planète. Les pays du Nord, très consommateurs d’eau sont priés de faire des économies ! Pourquoi ne pas commencer par économiser les chasses d’eau ? Les toilettes sèches ne demandent aucun apport hydrique pour évacuer loin des yeux les déjections. Dans le cas d’une TLB, à peine est-il utile de temps en temps d’humidifier légèrement la manne cellulosique qui les recouvre pour s’assurer du bon élevage du compost futur. Coût en eau pour la fabrication ? Relativement minime si vous réalisez vous-même vos toilettes à litière biomaîtrisée. Pas non plus d’utilisation ultérieure de l’eau pour dilution de l’urine d'épandage (8 volumes d’eau pour 1 volume d’urine) comme dans le cas des toilettes sèches à urines séparées.

Compostez pour enrichir le sol !

Les déjections humaines représentent une part importante de la biomasse animale à l’échelle planétaire. Et 40% de l’azote notamment. Pourquoi ne pas tenter de la réintégrer dans le circuit de la vie des sols, à l’instar de la biomasse des animaux d’élevage au lieu de petit à petit appauvrir les sols – car l’épuration, rejetant les déjections dans l’eau prive le sol d’une précieuse ressource nécessaire à la formation de l’humus ? C’est ce que permet le compostage des résidus de TLB, une manière de valoriser nos déjections mais aussi de « penser global ».

Réduire les pollutions de l’eau grâce aux TLB

En définitive l’utilisation de toilettes à litière biomaîtrisée et la réalisation du compost met fin à la production d’eau vanne. Elle permet donc de limiter les pollutions de l’eau souillée, retournée à la nature. Parmi les différentes toilettes sèches, la TLB est aussi un très bon outil anti-pollution, car acceptant les mélanges liquide/solide nécessaires à la formation du compost, elle limite ainsi les pollutions liées à la conservation de l’urine qui se transforme rapidement en polluant s’infiltrant dans les nappes phréatiques.

La TLB c’est donc en définitive un petit changement de comportement pour nous, nos 1%, mais un grand pas pour la planète !

On doit l’ « invention », le développement, et le nom de TLB à Joseph Orszaqh. Pour plus de renseignement sur la TLB, rendez-vous sur l’excellent site Eautarcie.com

La voiture électrique pourra-t-elle tenir ses promesses ? envoyé par ECODURABLE.fr le 29/05/2010 @ 07:41


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Jean-Louis Borloo a annoncé jeudi 1er octobre un vaste plan pour développer les véhicules électriques, avec un objectif de 2 millions de voitures sur les routes en 2020. Gouvernements et constructeurs sont aujourd'hui lancés dans une course industrielle…Avec quels résultats ?

Les premiers modèles sont annoncés pour 2010- 2011 chez Renault et PSA, mais Volkswagen, Bolloré, Coda et bien d’autres sont sur les rangs. En Chine, BYD commercialise déjà la première voiture électrique de masse depuis fin 2008…et un tiers de son parc automobile sera électrique en 2012. En France, le ministère de l’écologie table sur 27% du marché en 2025, et 15 milliards d’euros générés dès 2030. Outre des vertus écologiques, le gouvernement voit également dans ce nouveau marché une opportunité de relancer un secteur en pleine crise…et qui a pris un certain retard en la matière. D’où l’enveloppe conséquente annoncée par Jean-Louis Borloo - 400 millions d’euros sur quatre ans, auxquels s’ajoutent 70 millions d’euros pour la recherche. Par ailleurs, l'Etat et les collectivités consacreront 1,5 milliard d’euros à l'installation de 400 000 prises de courant d'ici 2020 sur la voirie et dans les parkings publics – qui s’ajoutent aux prises existants chez les particuliers. Le gouvernement ambitionne également de développer avec Renault, leader français sur ce marché, une filière industrielle pour les batteries, via la création d’une usine implantée à Flins (« fief » de Renault) et dotée de 625 millions d’euros. Objectif : 100 000 batteries en 2012, puis 350 000 en 2015.A ce vaste plan de financement s’ajoute un bonus de 5 000 euros jusqu’en 2012, accordé à l’achat de véhicules émettant moins de 60 grammes de CO2.

Les experts moins enthousiastes

Si le gouvernement et les constructeurs annoncent volontiers la naissance d’une « rupture » dépassant largement le marché de niche, plusieurs études récentes menées par des experts se montrent beaucoup plus perplexes. « La part des voitures électriques ne dépassera pas 3,2% du marché mondial dans 15 ans», révèle ainsi la dernière étude du cabinet Oliver Wyman sur les perspectives du marché de l'électromobilité en 2025 (voir article lié). Le cabinet dresse un constat sans appel : « En 2009, moins de 10 000 véhiculent purement électriques seront vendues dans le monde. De même, la flotte mondiale de quelques 2,5 millions de véhicules hybrides est encore un phénomène marginal, en comparaison des 850 millions de véhicules en circulation dans le monde. » L’étude tempère également les annonces enthousiastes des constructeurs : « en 2025, la part des hybrides atteindra certes 16% du marché automobile mondial, mais encore 760 millions de véhicules auront des moteurs à combustion, soit 84% du marché. » Par ailleurs, plusieurs freins techniques s’ajoutent à ce bilan, notamment l’autonomie – de 130 à150 km environ.

Un prix trop élevé

Reste aussi la question du prix. Une étude de janvier 2009 du cabinet BCG estime ainsi que la voiture électrique ne serait compétitive qu’à partir d’un baril de pétrole à 280$... (voir article lié) .Pourtant, certains constructeurs annoncent d’ores et déjà des prix alléchants. Renault a ainsi annoncé son modèle « Zoé » à un « prix abordable, proche de celui d’une Clio diesel grâce au superbonus gouvernemental ». Soit environ 10 000 euros…mais seulement pendant un an, puisque le bonus doit disparaître en 2013. PSA reste en revanche muet sur la question, son offre commerciale « n’étant pas finalisée ».

Quoi qu’il en soit, la voiture électrique reste chère à produire. D'après l’étude du cabinet Olivier Wyman, son coût de production est 150% plus élevé que celui d'une voiture traditionnelle. Et seulement 14 % des consommateurs se disent prêts à assumer un surcoût à l'achat. Pour l’heure, c’est surtout l’Etat et les grandes entreprises publiques et privées qui seront les premiers acquéreurs. 100 000 véhicules devraient être ainsi achetés d’ici 2015.

Enfin, voiture électrique n’est pas synonyme de voiture écologique ! Si l’intérêt majeur de la « voiture verte » réside dans ses faibles émissions de CO2 (60g CO2/km environ), quid de l’énergie pour les alimenter ? En France, elle émettra moins de 20g de GES…grâce au nucléaire, mais elle émet plus de 150g en Chine, où l’électricité est produite à partir de charbon…comme dans d’autres pays européens d’ailleurs. Une critique que ne cessent de rappeler les écologistes : « l’emballement publicitaire autour du véhicule électrique est totalement démesuré, observe Arnaud Gossement de FNE. Une voiture qui roule avec de l’électricité, produite grâce au charbon ou au fioul, émet donc du CO2. (…) Il faut arrêter de nous parler de voiture propre ! La voiture « propre » crée autant d’embouteillages, de déchets et de route qu’une voiture classique».

L'explosion de la plateforme de BP a été précédée de signes avant-coureurs (élus américains) envoyé par ECODURABLE.fr le 26/05/2010 @ 05:35

L'explosion le 20 avril de la plateforme de BP dans le golfe du Mexique a été précédée de trois signes avertissant de l'imminence d'un danger dans l'heure précédant l'explosion, ont révélé mardi des élus américains.

Les représentants Henry Waxman et Bart Stupak disent s'appuyer sur le rapport d'enquête interne du groupe pétrolier britannique BP sur l'accident du 20 avril qui a coûté la vie à 11 personnes.

Le premier avertissement est arrivé "51 minutes avant l'explosion". Il s'est déclenché car "la quantité de liquides sortant du puits est devenue plus importante que celle pompée à l'intérieur du puits".

Dix minutes plus tard, un autre signal s'est déclenché. Bien qu'il ait été fermé pour effectuer un test, "le puits a continué à s'écouler et la pression dans le conduit de forage a augmenté de façon inattendue".

Le dernier avertissement est intervenu 18 minutes avant l'accident, ont expliqué les parlementaires. A ce moment-là "une pression anormale" a notamment été observée et a conduit à la fermeture de la pompe.

Toujours selon les élus, il semblerait que des employés aient tenté de contrôler la pression avant l'explosion.

L'enquête a montré que d'autres signes se sont déclenchés quelque cinq heures avant l'accident, avertissant d'une fuite soudaine de liquides dans un conduit.

Ceci aurait pu indiquer des fuites dans la valve anti-explosion, un instrument qui doit normalement stopper l'écoulement du puits mais qui n'a pas fonctionné lorsque les employés ont tenté de l'activer.

L'enquête a établi que la valve en question était atteinte par au moins quatre problèmes. Et les parlementaires d'ajouter que "des interrogations demeurent sur le fait de savoir si les procédures adéquates" ont bien été suivies lors de la conduite de manoeuvres sensibles durant cette journée du 20 avril.

La revanche du castor envoyé par ECODURABLE.fr le 19/05/2010 @ 22:00

ENVIRONNEMENT - A Dresde, un castor bloque la construction d'un pont...

Les écologistes allemands ont trouvé un allié inattendu: un castor a élu domicile au cœur de la zone de construction d’un pont routier de 18km qui doit relier les deux rives de l’Elbe, à Dresde. Espèce protégée en Allemagne, le castor bloque les travaux durant tout le mois de mai, la loi interdisant de le déranger pendant la période de reproduction.

Chauves-souris, papillons, castors...

Ce n’est pas la première fois que les travaux sont interrompus pour des raisons écologiques: la découverte d’une espèce rare de chauve-souris et d’une variété protégée de papillons avait déjà mis un frein au projet. Juste retour des choses pour les écologistes, qui s’étaient vivement opposés à la construction du pont, accusé de défigurer la vallée de l’Elbe.

L’Unesco sanctionne le projet

Ce pont à quatre voies a valu à la ville de Dresde d’être retirée de la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, la privant ainsi du fonds d’aides de 150 millions d’euros accordé aux sites classés. Malgré ce revers, la municipalité a persisté dans ce projet qui doit fluidifier la circulation routière dans la ville. Mais avant que les travaux puissent se poursuivre, il faudra attendre que le castor, surnommé «Brücki» par les habitants de Dresde (Brücke signifie «pont» en allemand), ait profité tranquillement de la saison des amours.

Samsung Restore : un vrai smartphone écolo ? envoyé par ECODURABLE.fr le 19/05/2010 @ 21:49

Les téléphones portables étant devenus des objets de consommation courante, les constructeurs ont compris qu’il fallait impérativement repenser leurs modes de fabrication. C’est ainsi que Samsung propose petit à petit des téléphones à vocation écologique.

Avec le Restore, Samsung veut frapper un grand coup et montrer qu'il est possible de proposer un téléphone portable écolo. Greenwashing ou réelle performance écologique ?

Après le Reclaim et le Blue Earth, le constructeur coréen Samsung sort un troisième téléphone portable écologique : le Restore. Ce mobile est censé être respectueux de l’environnement, et pas seulement parce qu’il a une coque verte ! Un smartphone écologique aux performances un peu justes

L’empreinte écologique du Restore a été réduite à la portion congrue. Constitué en majeure partie (84 %) de matériaux recyclables, il sera fortement valorisé lorsqu’il arrivera en fin de vie. Sa coque est composée de 24 % de matériaux recyclés, ce qui lui permet d’afficher un bilan plutôt positif, la plupart des autres téléphones nécessitant beaucoup de ressources (eau, énergie…) pour leur fabrication.

Côté consommation électrique, le Samsung Restore est exemplaire, puisque son chargeur, compatible avec la norme Energy Star 2.0, présente une puissance très restreinte, de 30 mW. Cerise sur le gâteau, tout l’emballage est 100 % recyclable.

Le Samsung Restore n’en est pas moins un smartphone performant, sans pour autant faire montre de performances alléchantes. Avec un appareil photo 2 mégapixels intégré, un écran 2 pouces 240 x 320, un slot pour carte microSD, et toute une série de connectiques classiques (Bluetooth…), on reste dans le standard, sans fioritures. Pour le moment seul l’opérateur américain Sprint le propose pour 70 dollars avec engagement de deux ans.

Ecolo, oui mais pour quel label ?


Alors le Restore est-il vraiment écolo ? Sans connaître exactement sa composition, difficile de trancher. Les normes de certification sont le plus souvent propres à chaque opérateur, Sprint ne déroge pas à la règle et propose son propre label. On l’a vu pour le Blue Earth, le label de SFR lui avait décerné une vilaine note pour un mobile se voulant écolo. Toutefois avec son chargeur très basse consommation et ses matériaux recyclés et recyclables, le Samsung Restore est un exemple que les autres fabricants devraient suivre.

Une base de données mondiales sur l'eau envoyé par ECODURABLE.fr le 18/05/2010 @ 05:12

Lancée lors de la 3ème conférence sur l'eau de Kyoto, la base de donnée Watersheds of the World présente un tableau prospectif de l'état de 154 des principaux bassins fluviaux mondiaux. Issu de la collaboration entre 4 ONG, ce projet vise, non seulement, à apporter une source d'information fiable aux responsables économiques, politiques et ONG mais également à sensibiliser le grand public sur la raréfaction des ressources en eau.
Depuis le 18 mars 2003, les différents décideurs et parties prenantes dans la gestion des ressources en eau disposent d'une source d'information exhaustive sur l'état actuel et futur de 154 des principaux bassins fluviaux mondiaux. Ce produit a été présenté par le projet "Water Resources eAtlas", qui est une initiative conjointe du World Resources Institute (WRI), de l'IUCN, de l'International Water Management Institute et le Ramsar Convention on Wetlands. La base de données "Watersheds of the World", compilée à partir d'un grand nombre de sources d'informations, traite les 20 principales questions clés de ces bassins et dresse une analyse de leur état actuel. "Ce produit offre la meilleure information disponible à ce jour sur les bassins fluviaux mondiaux," déclare Carmen Revenga du WRI. "C'est une source d'information vitale pour toutes les personnes intéressées ou impliquées dans les questions de gestion de l'eau".

Cette compilation de données a permis de faire certaines découvertes préoccupantes. Il ressort, en effet, que 42 bassins ont perdu plus de 75% de leur couvert forestier (taux de forestation), dont 15 bassins avec un taux de déforestation supérieur à 95%. La plupart se situent en Europe, Afrique et Amérique Centrale. En outre, il apparaît que les zones abritant les plus grandes richesses végétales et animales sont les moins bien protégée. Enfin, les projections effectuées concernant la disponibilité en eau pour 2025 sont effrayantes. Les chercheurs de Water Resources eAtlas, en se basant sur les tendances de consommation actuelle, prédisent en effet qu'au moins 3,5 milliards de personnes - , soit 48% de la population mondiale estimée - vivront dans des régions aux bassins fluviaux surexploités.

Afin de permettre au plus grand nombre de s'informer sur ces questions et de connaître la situation de son bassin fluvial, cette base d'information est consultable par tous gratuitement sur internet. "La question de l'eau ne se résume pas à l'eau qui sort de nos robinets. Elle a un impact sur la nourriture que nous mangeons, sur les poissons et oiseaux de nos rivières, sur nos loisirs et nos industries," précise Elroy Bos de l'IUCN. "Afin d'éviter le scénario dramatique d'une pénurie en eau généralisée, et les incidences écologiques et humaines que cela entraînerait, la gestion de l'eau a besoin de l'implication de la société civile."

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