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Habitat durable: Une maison pas énergivore pour un sou envoyé par ECODURABLE.fr le 12/11/2010 @ 18:12

INNOVATION - La maison modulaire fait une percée au salon de l'habitat durable. La Yes Maison fait le pari d'allier qualité et bas prix...

Mathieu Gervais, jeune gérant de la jeune entreprise Yes Maison, a fait le pari de la maison modulaire. «C’est l’avenir», assure-t-il entre deux clients sur son stand du salon de l’habitat durable à Nantes, où il a reçu mercredi 10 novembre le prix du jury aux trophées de l’habitat durable. Son idée: proposer une maison standard répondant à des qualités environnementales, à des prix accessibles.
«Je me suis mis à la place des gens dans leurs contraintes quotidiennes»

Son premier modèle est proposé à 92.000 euros TTC (sans le terrain). «Et cela ne va pas au-dessus de 200.000 euros.» L’idée principale est de diminuer les coûts de construction, en réduisant les temps d’intervention sur le chantier, et donc en pré-fabriquant en usine. «Nous proposons des maisons clés en main, dont les parois extérieures en acier sont fabriquées en usine, et les murs en ossatures bois assemblés sur le terrain en quatre semaine. Pour l’isolation nous utilisons de la cellulose, placée entre l’acier et le bois, ce qui assure une parfaite étanchéité à l’air.» La structure repose sur des fondations et poutrelles en acier, «ce qui évite de remuer tout le terrain.» Tout l’intérieur, plafond et sol, est en bois. Un gage de qualité pour ce charpentier de métier. La Yes Maison propose un ameublement et des rangements minimalistes, façon Ikea, également assemblés en usine.

«Je ne suis pas un architecte, mais je me suis mis à la place des gens dans leurs contraintes quotidiennes, pour proposer une maison adaptée à leurs besoins, et qui ne soit pas un gouffre énergétique.» La clientèle répond doucement pour le moment, avec une quinzaine de maisons vendues en trois mois. «Nos clients sont surtout des quinquagénaires qui en ont marre de dépenser des sommes folles en chauffage, des gens plus huppés qui s’en servent comme maison d’amis sur leur propriété en région parisienne, ou des investisseurs immobiliers.» Les jeunes primo-accédants, la cible visée au départ, ont encore du mal à franchir le pas.

A Nantes, l'habitat de demain fait salon envoyé par ECODURABLE.fr le 12/11/2010 @ 06:48

ENVIRONNEMENT - La nouvelle réglementation thermique est au cœur de toutes les discussions au salon de l’habitat durable, qui s’est ouvert à Nantes jeudi 11 novembre…
BBC, RT 2012, pont thermique, étanchéité à l’air… Voici les termes en vogue cette année au salon de l’habitat durable, qui a ouvert ses portes jeudi 11 novembre au Parc des expositions de Nantes. Précurseur, puisque la première édition s’était tenue en 2004, ce salon est devenu l’un des plus importants rendez-vous de l’habitation écologique au niveau national, avec environ 150 exposants et 26.000 visiteurs.

BBC. Bâtiment basse consommation. Les constructeurs n’ont plus que ce mot à la bouche, et les visiteurs veulent tout savoir sur cette nouvelle réglementation qui devient obligatoire pour toute construction de bâtiment tertiaire dès 2012, et pour l’ensemble des logements dès 2013. C’est une des pierres angulaires de la RT 2012 (réglementation thermique), qui vient succéder à la RT 2005. «C’est un grand pas que l’on nous demande de franchir» assure Alain Moreau, plombier à Rezé, et qui tient le stand des éco-artisans au salon. Le défi est de faire passer la consommation énergétique des bâtiments de 150 KWh/m2/an, à 50 KW. «Pour y arriver il faudra réaliser des constructions très étanches, ce qui ne veut pas forcément dire installer de grosses épaisseurs d’isolant, mais surtout changer les mentalités dans la façon de construire.» Traduction : faire travailler tous les corps de métier de manière complémentaire, et ainsi éviter, par exemple, que l’électricien ne vienne percer l’isolation pour installer ses gaines, et ainsi créer un pont thermique (infiltration d’air). «Placez une bougie devant une prise électrique dans votre habitation, vous vous apercevrez qu’il y a de l’air qui passe, à moins que l’installation n’ait été très bien faite» assure Alain Moreau.

Les éco-artisans encore trop isolés

Mais attention aux arnaques. Une construction BBC devra en effet se plier au test de l’étanchéité à l’air pour être conforme. Ce test consiste à mesurer l’entrée de l’air dans l’habitation, une fois les travaux d’isolation achevés. «Il faut impérativement demander à son constructeur de certifier la BBC, ce qui veut dire qu’il s’engage à ce que la construction soit livrée aux normes» insiste Karl Poinson, commercial chez Maison Nature et Bois. «C’est à l’artisan d’effectuer le test d’étanchéité, et de modifier si nécessaire» indique Alain Moreau.

Pour s’y retrouver dans la jungle de l’éco-construction, les sites des éco-artisans ou d’Effinergie recensent les professionnels qui ont suivi l’éco-formation de la Capeb. Mais ceux-ci sont très minoritaires pour l’instant. A titre d’exemple, il y a à ce jour 75 éco-artisans en Loire-Atlantique, sur 6.000 professionnels.

Cyril Devorsine, chef de projet du salon habitat durable, reste néanmoins optimiste. «En six ans j’ai pu constater la rapidité avec laquelle les professionnels se sont adaptés aux nouvelles réglementations». Ce qui a permis de gommer les surcoûts. «Ils étaient de l’ordre de 20 à 30 % il y a quelques années, mais grâce au développement des compétences, et à la fabrication de matériaux en plus grande série, tout cela est en train de s’équilibrer aujourd’hui.» En clair ; il n’y a plus aucune raison de payer sa maison BBC plus chère qu’une maison traditionnelle…

Comment prendre en compte la forêt dans la compensation carbone ? envoyé par ECODURABLE.fr le 12/11/2010 @ 06:10

Si des mécanismes ont été prévus dans le Protocole de Kyoto pour les pays en développement, rien n'existe pour valoriser le carbone séquestré par les forêts dans les pays industrialisés, ni les produits issus des filières bois. C'est pour combler ces lacunes que le « Club Carbone Forêt-Bois » vient d'être lancé, avec pour objectif de faire entrer ces filières dans l'économie du carbone.
« Alors que la forêt constitue un puits de carbone particulièrement intéressant, elle est exclue des mécanismes issus du Protocole de Kyoto applicables au pays industrialisés », explique en préambule Benoît Leguet, directeur de CDC Climat recherche, et initiateur du Club Carbone Forêt-Bois.* En effet, rien ne permet aujourd’hui de valoriser les émissions de CO2 séquestrées par la forêt dans l’hexagone comme dans les autres pays industrialisés, et de « récompenser » la gestion durable des filières qui l’exploitent. Les Mécanismes de mise en œuvre conjointe (MOC) issus de Kyoto et applicables aux pays industrialisés ne prennent pas en compte les projets forestiers, contrairement aux Mécanismes de développement propre (MDP) relatifs à la reforestation et à la lutte contre la déforestation, qui permettent la génération de crédits carbone. Par ailleurs, les mécanismes de déforestation évitée (REDD - réduction des émissions provenant de la déforestation et de la dégradation des forets dans les pays en développement) actés à Copenhague et destinés aux pays en développement vont également permettre de valoriser, via les crédits carbone, des projets de gestion durable des forêts. Pour autant, ces initiatives, très complexes à mettre en œuvre, existent en nombre infime, alors que des centaines de milliers d’hectares devraient être « reforestés » chaque année pour lutter contre les changements climatiques.

Rémunérer les services rendus par la forêt


De fait, seuls les programmes de compensation volontaire représentent aujourd’hui un vrai marché de la forêt - 20% sont en effet consacrés à des programmes de conservation de la foret-. Ils permettent aux entreprises non soumises au marché de carbone, mais qui veulent afficher une stratégie dans ce domaine, de compenser leurs émissions « restantes », après avoir déjà réduit toutes celles qu’elles pouvaient. Le volume de la compensation volontaire est encore faible -50 000 tonnes par an en France-, mais pourrait se développer grâce à cette nouvelle offre. « Il existe une vraie demande des collectivités locales et des entreprises pour mettre en place, localement, de tels projets. Or, en l’état actuel des choses, c’est impossible », souligne Benoît Leguet. Jean-Yves Henry, président de l’AFSSOR (Association des sociétés et Groupements Fonciers et Forestiers), qui représente les gestionnaires privés, estime également que le marché doit rémunérer les services climatiques rendus par la forêt, obtenus notamment grâce à une gestion durable des acteurs. « Les professionnels sont engagés aujourd’hui dans cette politique, il est normal que ces services soient rémunérés par des actifs carbone. C’est également un moyen d’assurer la pérennité de la ressource forestière », ajoute-t-il.

Alors que chaque acteur (ONF, organismes professionnels concernés, administration et entreprises) travaille séparément sur ces questions depuis Kyoto, le Club Carbone doit permettre de mutualiser les compétences pour faire progresser le débat et expérimenter cette valorisation économique. Mais pour cela, il faudra au préalable définir un référentiel qui permettra d’évaluer la séquestration et d’attribuer une certification aux crédits carbone sur le marché. En effet, toutes les forêts ne se valent pas en la matière, certaines essences étant plus efficaces que d’autres pour absorber le CO2… De nombreuses questions techniques et méthodologiques doivent donc être résolues. Au premier chef, évaluer le potentiel de séquestration des projets selon leur nature (conversion à certaines essences, reboisement, reconversion de terres agricoles en forêt, etc) ainsi que la quantité de crédits carbone générés.

* Le Club carbone-Forêt-Bois a été fondé à l’initiative de CDC Climat Recherche, de l’ONF, de la Forêt Privée Française, de la Société forestière de la Caisse des Dépôts, de l’ASFFOR, de l’Institut technologique d la forêt, Cellulose, Bois-Construction et Ameublement, et du Syndicat des Sylviculteurs de Sud Ouest.

Quels sont les grands constructeurs de maisons prefabriquées en France ? envoyé par ECODURABLE.fr le 06/11/2010 @ 07:38

Les nouvelles techniques de construction
Mais l'avenir de la construction se situe peut-être dans le préfabriqué, comme le rêvait Marcel Dassault.


Dans les années 1960, il avait travaillé à un projet de maisons préfabriquées. Suite à une rendez-vous avec le Général de Gaulle, le Président de la République lui avait lancé une phrase célèbre : "je vous suggère de continuer à vous occuper d'avions".

Le concept du préfabriqué n'est pas nouveau, mais il pourrait connaître une deuxième jeunesse. Avec les techniques modernes, il est possible de construire chaque pièce d'une maison dans des usines et de les assembler au millimètre près, comme un mécano. Les avions comme l'Airbus A380 ou le Falcon de Dassault sont préfabriqués, alors pourquoi pas employer ces techniques pour construire des maisons individuelles.

En France, les techniques de mécano ont été utilisées pour la première fois lors de la construction du Parc des Princes entre 1968 et 1972. Pour réussir son pari technique, l'entreprise Bouygues avait eu l'idée de concevoir chaque pièce par ordinateur, une révolution à l'époque. Désormais, les techniques de mécano sont utilisées pour tous les grands ouvrages d'art. Parfois, on y a recours pour construire les fondations et les murs d'immeubles modernes. Mais les techniques de mécano sont rarement utilisées pour la construction de maisons individuelles, de la première pierre jusqu'à la construction finale.

En France et en Europe, l'offre est balbutiante, mais elle se développe rapidement.

Par exemple la société IKEA lance une nouvelle activité de construction, avec des prix de l'ordre de 100.000 € par habitation. La société s'implantera bientôt en France et au Royaume-Uni. IKEA est même en mesure de livrer de petits immeubles. C'est un symbole fort qui montre que le marché pourrait basculer en faveur d'un habitat bon-marché.

En France, des entreprises se développent sur le segment de la construction bon marché. Parfois, ce sont des entreprises d'origine canadienne, ayant une longue expérience des techniques de préfabriqué. Les Français sont majoritairement présents, avec des techniques traditionnelles.

Combien coûte une maison bon marché ? Selon les options, une maison traditionnelle coûte de 80.000 € à 100.000 €. Une très grande maison spacieuse coûte environ 150.000 €. Les maisons en préfabriqué sont nettement moins chères et coûtent de l'ordre de 50.000 €.

Nous publions les références de quelques constructeurs, pour vous permettre de vérifier que l'industrie du bâtiment est une industrie de grande consommation et d'opulence. Certains sites Internet permettent la création de devis en ligne. Vous pourrez constater à quel point le mythe de la pénurie est éloigné de la réalité :

BOKLOK: filiale d'IKEA. Bientôt en France et au Royaume-Uni.

Les Industries Bonneville : maisons pré-usinées en kit. Entreprise canadienne implantée en France (ville de Strasbourg).

Maison Conseil : maisons sur catalogue. Devis en ligne, à la manière de DELL.

Maisons Pierre : maisons sur catalogue. Catalogue en ligne.

Modulex International: maisons pré-usinées en kit. Entreprise canadienne implantée en France.

Il y a aussi les Maisons Phénix, toujours d'actualité.

En allant chercher, sur ton annuaire pages jaunes de ton département, dans constructeurs ou maisons, je ne sais plus comment c'est rangé, tu devrais trouver ton bonheur.

Attention de ne pas mélanger : maisons préfabriquées et maison clés en mains
Présentées sur plans certaines sont préconstruites avant : les murs sont apportés "entiers" alors que les autres sont montés parpaing après parpaing ; c'est à se faire préciser

Si possible, aussi, faire marcher la concurrence, ne pas s'arrêter à la première proposition, demander à voir ce qui a été fait, pas sur plan, MAIS "EN VRAI"

Dans ma garde-robe, je recycle pour créer du neuf ! envoyé par ECODURABLE.fr le 06/11/2010 @ 07:13

Armoires pleines, vêtements usés, mais qu'on ne peut se résoudre à jeter... Nous avons la solution ! Pour celles qui accumulent les vieilles fripes, valeurs sentimentales, optez pour le recyclage maison !

Customiser c'est aussi recycler

Oui, c'est dur. Ce chemisier vous l'avez porté pendant des années et vous n'avez pas le courage de vous en séparer. Mais c'est que dans votre penderie, la place commence à manquer. Alors pour éviter de jeter tout en protégeant l'environnement, la première initiative est de customiser. A partir de deux vêtements et grâce à un peu d'habilité, il sera facile de créer une nouvelle pièce. Conservez par exemple de jolis boutons d'un vêtement usé pour les ajouter sur une nouvelle veste. Avec le tissu qui reste, vous pouvez également confectionner des rubans à coudre n'importe où. Ils pourront accessoiriser un vêtement, des chaussures, un sac ou bien rallonger une pièce. La dentelle, facile à découper peut s'appliquer sur un tee-shirt ou un top, pour des épaulettes ou un col customisés. Pour les couturières néophites ou bien pour celles qui manqueraient d'idées nous vous proposons de vous plonger dans Couture B.A.-ba de Clémentine Lubin et les Vingt idées pour customiser ses vêtements de Florence Le Maux et Frédérique Lucano.

Redécorer ma maison

Une fois passée maître en la matière, rien ne vous empêche de les transformer totalement. Pourquoi ne pas commencer par créer des housses de coussins pour votre canapé ? Choisissez dans votre penderie les vêtements que vous ne portez plus mais dont vous adorez les tissus. Découpez-les, associez-les sans avoir peur de mélanger les couleurs ou les matières. Avec un peu d'audace, vous obtiendrez très souvent des associations qui se marieront parfaitement avec votre personnalité puisque issues de vos propres tenues ! Après quelques passages sous l'aiguille de la machine à coudre il vous suffira d'appliquer une fermeture éclair ou de jolis boutons. Les plus audacieuses pourront réaliser un couvre-lit en patchwork, des rideaux, des abats-jour...Là aussi, n'hésitez pas à consulter les ouvrages suivants: La bible du patchwork Margie Bauer ou encore Patchwork pour la maison d'Edith Garraud.

Du tissu pour briquer mon intérieur

On vous l'accorde, cette dernière option est moins glamour que les deux précédentes. D'ailleurs elle ne marche que pour les vêtements qu'il serait intolérable de porter à nouveau. Comme par exemple cette vieille jupe immaculée devenue grisâtre au fil des lavages. Si ça peut vous réconforter, elle fera de vous une vraie protectrice de l'environnement. Découpée grossièrement ou soigneusement ourlée, elle sera parfaite imbibé de vinaigre blanc pour nettoyer votre maison. Pour vos vitres, votre salle de bain, ou votre cuisine, vos vieux vêtements de coton feront parfaitement l'affaire. Mais également pour cirer vos meubles (et vos chaussures), ou capturer la poussière.

Comment choisir son système d’isolation écologique ? envoyé par ECODURABLE.fr le 06/11/2010 @ 07:11

Vous avez décidé d’isoler votre maison afin d’économiser de l’énergie ? Bonne idée mais pas si simple à appliquer. En effet, il existe de nombreuses techniques d’isolation et il n’est pas facile de s’y retrouver pour choisir celle adaptée à votre bâtiment.

Le soufflage

Cette méthode consiste à épandre pneumatiquement et à sec, les fibres sur une surface horizontale ouverte, notamment dans les combles aménageables ou perdus. Le soufflage de la ouate de cellulose et de la laine de coton est préconisé pour les greniers, les sols et autres surfaces horizontales ouvertes. Elle est soufflée à sec fournissant ainsi un remplissage intégral, ne laissant aucun interstice par lequel l’air chaud pourrait s’échapper. L’isolation soufflage est l’un des facteurs clés pour réduire sa consommation d’énergie. Les maisons adoptées l'isolation soufflage émettent ainsi moins de CO². L'habitat se trouve avec 5 degrés de confort en plus avec l'isolation soufflage.

L’insufflation

Consiste à injecter pneumatiquement sous pression et à sec les fibres dans un caisson fermé, tel des planchers, murs, rampants et toitures...L’injection est utilisée pour les murs neufs avec lame d’air supérieur à 5 cm d’épaisseur. Dans ce cas la ouate de cellulose est insufflée sous pression pour remplir entièrement le vide dans les cavités enfermées.

La projection

La projection humide est surtout utilisée pour les murs. Avec cette méthode, et pour une bonne isolation, l’épaisseur de l’isolant doit être comprise entre 10 et 20 centimètres pour les murs. L’idéal est d’installer au moins 20 centimètres pour une densité de 42 kg/m3. Cette méthode requiert l’installation de caissons. Le matériau est ensuite recouvert d’un frein-vapeur. Les flocons de ouate peuvent aussi être projetés humides sur l’extérieur de la toiture. Cette technique est souvent utilisée pour des raisons esthétiques, notamment pour conserver les poutres et les chevrons apparents.

Les panneaux semi-rigides

La pose de laine de coton sous forme de panneaux est parfaite pour les rampants. Très simple d’emploi, ces panneaux ne nécessitent pas de machines pour leur pose. Les panneaux présentent les mêmes caractéristiques de résistance thermique, au feu et aux insectes que la ouate en vrac. Pour certains spécialistes que nous avons interrogés, les panneaux présentent une meilleure résistance au tassement avec le temps. Les panneaux peuvent être posés entre les chevrons d’une toiture et d’un plancher ou les montants d’une cloison. La conductivité thermique de la ouate de cellulose en panneaux semi-rigides est de 0,040 W/m.K, la même que pour la cellulose en vrac. La densité varie de 70 à 100 kg/m³. Les panneaux sont vendus au format 1,20 m x 0,625. Il existe cinq épaisseurs de panneaux allant de 30 mm à 180 mm.

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