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La climatisation dans les voitures c'est non seulement un surcoût important en matière de consommation de carburant mais aussi une pollution encore plus lourde que le Co2. envoyé par ecodurable le 04/09/2008 @ 20:51


Il devient de plus en plus difficile de trouver une voiture sans climatisation Christian et cela vous chagrine… !

Oui, plus des ¾ des voitures qui sortent des chaînes de production sont équipées aujourd’hui de la climatisation du fait d’une politique commerciale agressive, vous connaissez le fameux slogan publicitaire "la climatisation pour un euro de plus" ! Et il sera de plus en plus difficile d’y échapper puisque progressivement c’est l’ensemble du parc automobile français qui en sera équipé ! L’Ademe estime que les 2/3 du parc sera équipé en 2010 et les 9/10e en 2020.

Mais c’est plutôt bien, c’est quelque chose qui contribue à notre confort !

Certainement, mais la facture est quand même salée et pour l’environnement et pour notre porte-monnaie. D’abord parce que l’ajout de cet équipement commence par alourdir le poids du véhicule et donc sa consommation de carburant, que vous utilisiez ou pas votre climatisation. Ensuite parce que son fonctionnement augmente très fortement la consommation.

On a un ordre de grandeur ?

Cette consommation est majorée pour un véhicule à essence de 31% lorsque l’on roule en ville et de 16% sur route et autoroute. Cette surconsommation est encore plus importante pour un véhicule diesel : 35% en ville et plus de 20% sur route et autoroute. Selon la plus ou moins grande utilisation du climatiseur, les véhicules consomment ainsi sur une année entière entre 3 et 5% de carburant en plus ce qui est loin d’être négligeable au prix actuel du carburant et ce qui accroît d’autant les émissions de Co2. De plus, il faut savoir que le fluide frigorigène utilisé est un gaz à effet de serre, le R134 est 1.300 fois plus puissant que le Co2. Les fuites qui se produisent pendant la durée de vie de l’équipement ou après, augmentent encore la contribution de la clim au changement climatique et cela malgré les gros efforts menés par les industriels, les fuites d’hydrofluocarbones étant inhérentes à la marche de l’appareil. La climatisation de nos voitures, dans le climat tempéré qui est le nôtre est-elle à ce point indispensable pour que toutes nos voitures en soient équipées ? Il y a encore peu nos parents, voire nos grands parents s’accommodaient fort bien d’un coup de ventilation en baissant les vitres et ce n’était peut-être bien en plus pas plus mal au plan de la santé. Est-ce vraiment un progrès, un mieux ? A chacun sa réponse.
Christian Buchet (E1)

Les jeux et jouets écolos ont de plus en plus de succès envoyé par ecodurable le 03/09/2008 @ 20:56


Les jeux et jouets écolos ont de plus en plus de succès. Même les jeux électroniques s'y sont mis.

Les jeux écolos qui connaissent un formidable succès.
Oui et tant mieux car ils familiarisent les enfants de 2 jusqu’à 77, 99 ou 120 ans à la protection de notre planète et constituent un formidable outil pédagogique.Même les jeux électroniques qui, jusqu’il y a peu, proposaient quasi exclusivement des jeux de combat ou de sport s’y sont mis !

Ces jeux ne sont-ils pas un peu trop convenus, voire moralisateurs ?
En tout cas pas ceux que j’ai testés et qui brillent par leurs ingéniosité…et il y en a pour tous les goûts ! Dès 8 ans, les enfants peuvent apprendre à produire de l’énergie en construisant une éolienne, à faire avancer des voitures à partir de panneaux solaires, un kit permet d’apprendre à réaliser soi-même son papier recyclé. Un jeu de société inspiré du protocole de Kyoto invite les participants à sauver la planète, son but est donc de développer une activité industrielle tout en luttant contre l’effet de serre.Un autre consiste à sauver sur la banquise des pingouins menacés par la fonte des glaces. On peut également partir en Sibérie pour revivre l’aventure du grand nord sur les traces de Nicole Vanier, ou encore s’ouvrir au commerce équitable avec le « tiers-mondopoly ». Quant aux traditionnelles maisons de poupées, les plus branchées deviennent éco compatibles avec panneaux solaires sur le toit, plusieurs poubelles dans la cuisine pour trier les déchets et un réservoir sous la gouttière pour récupérer l’eau de pluie.

Quel serait le jeu ou le jouet que vous envisagez de demander lorsque le temps d’écrire au Père Noel sera venu ?
Le H2GO, une petite voiture télécommandée propulsée par hydrogène. Pas besoins de piles ! Grâce à l’électricité fournie par un petit panneau solaire, l’hydrogène est extrait qui fera fonctionner l’engin. Pour tous ceux petits et grands qui seraient intéressés par ces jeux et jouets, vous trouverez sur le site d’Europe 1 correspondant à cette chronique des références d’un ouvrage très bien fait de Pascal Carré pour vous aider à faire selon vos goûts votre choix.
Christian Bucher (E1)

Pascal Carré "Le guide des jeux pour la planète"

Editions Yves Michel

A la Rochelle se tient le conseil européen des ministres des transports envoyé par ecodurable le 02/09/2008 @ 20:40


A la Rochelle se tient le conseil européen des ministres des transports. Au menu : la question de la sécurité maritime.

A la Rochelle se tient le conseil européen des ministres des transports. Au menu : la question de la sécurité maritime. Oui, il s’agit ni plus ni moins de l’adoption du paquet Erika 3 par les 27 ministres des transports. La commission européenne a adopté ce texte en novembre 2005 mais encore faut-il qu’il soit également adopté avant de passer devant le Parlement Européen par les ministres concernés, à savoir ceux des transports.

Et ça bloque. Oui, cela bloque sur 2 des 7 points, sur les points essentiels cela ne vous surprendra pas, à savoir la responsabilité des Etats et des Armateurs, c’est bien pour cela que les différents pays ayant présidé l’Europe depuis 2006 se sont bien gardés de mettre à l’ordre du jour cette question et il faut saluer le courage de la présidence, en l’occurrence de Dominique Bussereau d’avoir décidé de mettre ce matin cette question sur la table !

Deux groupes de pays, d’un coté des Etats très sérieux au plan de la sécurité maritime comme l’Allemagne ou le Royaume-Uni mais qui sont réticents pour redouter de voir transférer à l’Europe une partie de leurs prérogatives. De l’autre, certains Etats qui ne brillent pas encore au plan d’une parfaite mise en conformité avec ce que l’on est en droit d’attendre de pays membre de l’Union Européenne…

Les pays qui ont des navires battant leur pavillon sont répartis en 3 groupes en fonction des accidents et des défauts constatés lors des inspections des navires, il y a la liste blanche qui comprend les pays les plus sérieux (signalons que la France y est et y figure même en première position, 1 seule détention pour 313 inspections) et en serait en droit de souhaiter que tous les pays de l’UE y soit, ce qui n’est pas encore le cas, on trouve plusieurs pays dans la liste grise et l’un des 27 figure même dans la 3e liste, la liste noire et dans la catégorie la plus à risque c’est la Slovénie. Vous le voyez, l’UE a encore beaucoup à faire et ce sera tout l’enjeu de ce matin que d’avancer un peu, espérons beaucoup sur ce dossier !

Dans 80% des cas, les denrées dites consommables sont produites à partir d’eau polluée envoyé par ecodurable le 01/09/2008 @ 19:05


Le 13e congrès mondial de l’eau s'ouvre ce lundi à Montpellier. Au coeur un terrible rapport : dans 80% des cas, les denrées dites consommables sont produites à partir d’eau polluée

Alors que démarre aujourd’hui le 13e congrès mondial de l’eau à Montpellier, on est en train de prendre conscience de l’importance des eaux usées, polluées donc, qui servent à produire des denrées alimentaires…

Oui et on est presque tombé à la renverse en découvrant le rapport de l’Institut International de gestion des ressources en eau (l’IWMI), premier rapport consacré à cette question qui montre, à partir de l’étude de 53 grandes villes d’Amérique latine, du Moyen-Orient, d’Asie et d’Afrique que dans 80% des cas, on produit des denrées dites consommables à partir d’eau polluée.
Au total ce sont près de 200 millions d’agriculteurs qui ont recours aux eaux usées, on ou insuffisamment traitées pour leurs cultures.
On est tombé à la renverse parce que nombreux sont les pays qui interdisent purement et simplement que l’on irrigue avec des eaux usées pour peu que leurs produits agricoles soient interdits à l’exportation mais cela n’est pas respecté dans les faits par manque de contrôle.
Et avec la croissance démographique galopante des pays du sud, le phénomène va s’accélérer. On imagine hélas aisément les conséquences au plan de l’hygiène et de la santé des populations.

Y-a-t-il des solutions ?

Oui, elles existent. Il n’est pas question d’avoir recours aux méthodes occidentales, celles-ci sont trop couteuses, mais on peut comme cela est déjà pratiqué par endroits en Inde, si ce n’est rendre potable l’eau du moins la rejeter sans risque dans les cours d’eau naturel.
Il suffit de faire transiter les eaux dans des bassins remplis de lentilles d’eau, une algue de surface, qui va en 72h absorber la moitié des impuretés. Des eaux qui vont ensuite traverser plusieurs bassins à poissons, des carpes en l’occurrence, de 5 variétés de carpes travaillant à différentes profondeurs, qui vont dévorer ce qui reste de matières organiques faisant chuter le nombre de bactéries dans l’eau de près de 90%.

Et attendant que de tels bassins soient installés, qu’est-ce qu’on peut faire ?

Pour diminuer le risque, il faut que les populations concernées, prennent l’habitude de laver les légumes qui sont mangés crus.
On peut aussi stocker l’eau usée dans des étangs pour laisser se développer les matières solides.
La préservation de l’eau et le recyclage des eaux usées urbaines sera et est déjà l’un des plus importants enjeux du 21 e siècle !
Christian Buchet (E1)

Les glaces de l’Arctique viennent encore de fortement reculer envoyé par ecodurable le 29/08/2008 @ 22:15


La diminution des glaces constatée en ce mois d’août est même la deuxième plus forte fonte des glaces pour la saison d’été enregistrée depuis le début des observations satellitaires il y a 30 ans. Depuis le début du mois, les glaces de l’arctique ont ainsi reculées de plus de 2 millions de km². L’accélération de la fonte observée depuis 10 ans se poursuit donc et à un rythme encore plus fort depuis 3 ans, depuis 2005 c’est 25% de la surface des glaces qui a disparu. Si cette tendance se poursuit, il n’y aura plus de glace l’été dans l’océan arctique aux alentours de 2030 alors que l’on s’attendait à ce scénario entre 2050 et 2100.

Quelles pourraient être les conséquences ? Certains s’en frottent les mains car la fonte des glaces rend accessible les fonds marins riches en pétrole. Une aubaine pour le Canada et la Russie qui ne cessent de militariser la zone pour affirmer leurs prétentions. Le canada vient tout juste d’achever une série de manœuvres militaires en présence du Premier Ministre, Stephen Harper. Et puis cette fonte permet d’ouvrir plus longuement le passage du Nord-Ouest qui relie l’atlantique au Pacifique en passant les îles arctiques du grand nord canadien, un trajet qui raccourcit la route entre l’Europe et le Japon de près de 7.000km.

C’est plutôt positif mais attention cette situation sans précédent sonne le glas pour nombre d’espèces animales de la région…. Selon un rapport scientifique américain, le plus grand prédateur terrestre encore en vie, l’ours polaire pourrait quasiment disparaitre en l’espace d’une génération, d’ici 2050 si rien n’est fait. La fonte des glaces de l’arctique sonne aussi comme un ultime avertissement en préfigurant la fonte des sols gelés de la région et qui relâcheraient des quantités considérables de méthane dans l’atmosphère, aggravant par là-même le réchauffement climatique, et qui est, on le voit bien avec l’arctique, le plus grand défi de l’histoire humaine !
Christian Bucher (E1)

Les constructeurs automobiles et les émissions de Co2 par kilomètre. envoyé par ecodurable le 28/08/2008 @ 19:06


L’étude, que vient de publier la Fédération Européenne Transport et environnement sur les progrès réalisés en 2007 par les constructeurs automobiles en matière d’émissions de Co2, est de ce point de vue très éclairante.
La moyenne des émissions de Co2 des voitures européennes vendues en 2007 par rapport à 2006 n’a baissé que de 2grammes (158gr/km en 2007 contre 160gr en 2006). On est loin d’être en mesure d’atteindre l’objectif de 130gr/km que la Commission européenne ambitionne de faire adopter pour 2012.

Du coté des constructeurs français, qu’est-ce que cela donne ?Renault et Peugeot-Citroën ont réalisé une faible performance, Renault est passé d’une émission de 147gr/ km en 2006 à 146 en 2007 et l’introduction de son nouveau 4x4, le Koléos émettant plus de 200gr/km ne sera surement pas à même d’aider le constructeur à améliorer ses performances. Quand à Peugeot-Citroën sa moyenne a été également réduite d’1gr passant de 142gr à 141gr/km. Les constructeurs allemands ont réduit plus sensiblement leurs émissions de Co2/km, à l’exemple de BMW qui a réduit de 14gr en moyenne ses émissions de Co2 passant de 184 à 170gr mais, elles sont, on le constate, beaucoup plus élevées que celles des constructeurs français. Et pour rendre justice à nos constructeurs, les grammes de Co2 sont de plus en plus difficiles à gagner !

L’objectif de 130gr/km pour 2012 est-il réaliste ? Il est tout à fait accessible pour les constructeurs français qui ont prévu pour 2012 des émissions de 127gr/km ce sera beaucoup plus difficile pour les autres constructeurs. Et il y a pourtant bien nécessité de baisser les émissions. Imaginez, en 1950, il n’y avait que 53 millions de voitures dans le monde. Ce chiffre s’élève aujourd’hui à 600 millions de voitures ! Et selon une étude du Fond Monétaire International, ce chiffre va quasiment quintupler d’ici 2050 pour atteindre 2,9 milliards de véhicules. C’est dire tout à la fois l’urgence et la nécessité de baisser encore plus vite les émissions de Co2.
source Christian Buchet (E1)

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